La porte du coq

Après 4 mois de repos, clavicule en vrac, me revoilou sur les pentes de la Chartreuse. À vrai dire, j’ai repris le vélo fin août mais c’était uniquement pour les petits trajets boulot dodo ! Comme ces trajets sont cours, et pour une grande partie en piste cyclable en état correct, je ne prenais pas trop de choc…

Un vrai col de première catégorie au pied de la maison, il faut bien en profiter ! Deux, c’est que du bonheur. D’autant plus que l’été se prolongeant, bien qu’il fasse plus frais qu’en juillet, les routes sont sèches et agréables à rouler.

  • Dimanche 14 octobre, montée au Col de Porte. C’est un très bon chemin pour franchir un cap. La route est nickel, il y a régulièrement du passage, pas trop mais un peu trop quand même par l’itinéaire standard ! Au niveau du Sappey, des gravillons ont été déversés sur la route, ils sont déjà bien sur le bord de la chaussée mais pas tous. Avec ce tapis de billes, je ne ferais pas de record de descente, ce qui n’est pas plus mal pour cette reprise.
  • Dimanche 21 octobre, montée au Col du Coq. Je démarre lentement, ne voulant pas me griller dans le final. Après 1h10, j’arrive au tunnel. Je pensais ne mettre qu’une heure pour cette première partie et une heure pour la suivante… C’est effectivement ce que je ferais, n’ayant pas vu le mur un kilomètre après la sortie du dernier hameau : Le Baure, ni réellement les derniers si ce n’est qu’il y a maintenant une baraque à saucisses au dernier virage. Cette descente a elle-aussi été calme, mon frein avant est usé et puis, sauf le sommet ensoleillé, le reste des pentes étaient dans un espèce de brouillard froid et pas très épais.

Deux beaux cols sans être épuisés au sommet, comme quoi il doit me rester des globules rouges de l’été !

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