Cela faisait un bout de temps qu’il traînait dans notre jardin. Toujours propre sur lui et peureux comme pas deux ! Il vivait dans son tas de cailloux, tout seul, peinard… Il y a bien les chats du voisinage qui voulaient absolument lui faire la peau. Mais, ma brave dame, la vie n’est plus ce qu’elle était, ils ont été incapable de l’attraper depuis tout ce temps !
Et puis, il a commencé à manger toute la réserve de pain que je prévoyais pour les canards de Vizille. Mon sang ne fit qu’un tour et hop, dans la nasse, direction la forêt entre Corenc village et Le Sappey !
Il faut bien trouver un chute à cette belle histoire. Comme d’habitude, les gendarmes sont arrivés après la bataille. Ils marchent au pas et bien en rang, faut leur laisser cela !