Saperlipopette, cela fait bien longtemps que les Francs n’existent plus… Mais bon, c’est toute ma jeunesse à la sortie de la station Pyrénées et puis, avec les Euros, cela sonne moins bien. Une histoire de syllabes je pense.
Pas de métro souterrain ici dans la ville de Mendoza. Au vu du type de terrain et de la séismicité de la zone, je pense que nous n’en verrons pas de notre existence. Cela n’empêche nullement d’avoir des petits commerces un peu partout qui vendent sans problème patates, tomates, aubergines, courges et … avocats ! Il faut bien que ma chronique retombe sur ses pieds !
Ces petits commerces ont en général un pick-up pour aller chercher leur produit là ou en France, c’est généralement un Trafic. Assez souvent, je me demande comment toute cette cargaison tient et ne tombe pas au premier virage…