L’Isère en bleu

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Il me reste quelques couleurs dans la palette pour tenir la série !

En général, les rocades tournent et tant que vous êtes dessus, vous tournez, tournez jusqu’à plus fioul. A Grenoble, la rocade a deux bouts (c’est bon au tarot), un au sud nommé le Rondeau, un échangeur merdique au possible et un au nord-est sur Meylan. Bref, l’action se passe au niveau de ce dernier. Ouf, un peu longuette cette introduction…

Que faites-vous lorsque la route passe sous l’eau ?

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Quand on connaît le lieu, on fait vite fait demi tour car ce n’est pas en voiture que vous pourrez passer par là. Mais en vélo ? Et bien, c’est très drôle de faire du vélo dans l’eau, surtout lorsque celle-ci est relativement chaude. Cela m’a rappelé le bonheur de faire du vélo sur la neige. Les sensations n’ont rien à voir mais c’est inhabituel, un peu technique, la gamelle se paye cash de suite… J’ai commencé à faire deux petits tour 20150502_120127_0054_pfz200jusqu’aux panneaux afin de prendre mes marques (et profiter de deux autres cyclistes qui n’oseront pas franchir l’obstacle pour me faire prendre en photographie) . Puis après un passage sur le petit plateau (ça tire dur sous l’eau, j’ai franchit les 100m sous le tunnel sans soucis particulier. La hauteur maximale d’eau est au niveau du premier pont ou celle-ci arrive juste au dessous du guidon. Bref, on passe en danseuse les fesses au sec !

Que dire de plus ? C’est génial, j’attends avec impatience la prochaine inondation !

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