Morceaux de vis

En traversant le campus de Grenoble la semaine dernière, je tombe par hasard sur cet assemblage désarticulé a qui je trouve instantanément un charme certain. Par malchance ou par chance, je n’ai alors aucun appareil photographique sur moi.

Du coup, dès le lendemain, aux derniers rayons du jour, je me pointe en bas de la tour. Ouf, les éléments sont toujours là, ils n’ont pas été pris volé ni monté !

A vrai dire, ce n’était pas une grosse crainte. Vu l’état de l’échafaudage et vu le niveau d’avancement de la paroi qui doit accueillir cet escalier de secours, je ne suis pas sur qu’il n’ait, même une semaine après, beaucoup bougé.

Je suis toujours surpris qu’on continue de faire des escaliers en acier. Certes, il est dehors et ne crains donc pas vraiment le feu mais tout de même (les charpentes en acier sont très peu résistantes au feu, bien moins que celles en bois par exemple). Surtout qu’ici il y a un paquet d’étage et il manque tous les premiers niveaux sur la photographie !

Je n’ai qu’un regret, que les éléments de l’escalier n’aient pas tous été aligné au sol. Un damier formé de plus d’un dizaine de vis géantes, ça en jette…

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