Cette espèce de liane pousse magnifiquement bien dans nos intérieurs. Un peu d’eau, un peu beaucoup d’eau l’été et hop, il y a des belles grosses feuilles de partout. Et puis arrive les congés d’été que notre gouvernement actuel n’a pas encore sucré et là, le drame…
(Pas de mort à très court terme, vous pouvez continuer la lecture.)
Rappelez-vous l’amas de petites feuilles, voila le problème. Au retour des congés, toujours trop courts sauf pour les plantes d’intérieures, quasiment toutes les feuilles jaunes ou marrons sont à terre et celles qui restaient ont suivi le mouvement gravitaire dans les quinze jours suivants. Alors la question métaphysique se pose d’elle même pour la plante comme pour vous : « vais-je mourir ? ».
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Assez rapidement heureusement, la vie reprend le dessus par le haut. C’est en effet au sommet de la touffe de lianes que sont apparus un quinzaine de jours plus tard les premiers espoirs verts. Pas étonnant que cette couleur symbolise l’espérance ! Les feuilles poussent super vite, clairement d’un jour sur l’autre et pourtant, au regard d’un passant, tout cela est d’un statique qui ne transpire pas la vie.
À ce jour, un mois après ces clichés photographiques, on ne voit plus guère les lianes, cachées par un nuage de belles et jeunes feuilles grasses. On se pose alors la question de la chronique du jour prochain et on cherche le nom de cette plante qui nous suit depuis déjà trois ans et qu’on pense bien mettre dans le titre ou dans l’introduction. Ce n’est point un Ficus comme beaucoup le pense en premier mais très probablement un Stephanotis floribunda ou plus simplement un Jasmin de Madagascar, nom moins latin mais bien plus poétique ! Nulle doute qu’elle reviendra un jour faire parler d’elle ici même…