Voila le thème donné au dernier moment (quelques minutes avant le top départ) de ce concours familial de château de sable. Celui-ci ayant eu lieu fin août sur la Ria d’Étel et n’ayant jamais été ouvert au public, il était et il est impossible de s’y inscrire !
Nous étions par équipe de quatre, afin de ne pas prendre toute la plage mais aussi parce que les pelles et les seaux étaient en nombre bien limités. Par chance je suis tombé dans la seule équipe de cinq, très féminine, avec cependant deux mi-temps pour cause de touts petits schtroumpfs à surveiller de près.
(Après une descente dans les entrailles du web, on devrait dire les tout petits ou les tout-petits. Cependant, ainsi qu’une personne en fait la remarque, au féminin on dirait alors les toutes petites. Pourquoi le féminin s’accorde et non le masculin ? Pas de réponse claire sur le lien donné. J’ai donc décidé de réformer l’ortografe à moi tout seul, ce qui vous en conviendrez, est une posture que j’emploie régulièrement et avec acharnement sur ces pages.)
Nous étions donc partis sur l’idée assez banale de faire un bus. Assez rapidement, je me suis rendu compte que le sable, n’étant point assez collant, ne permettait pas de faire la moindre face verticale… C’est donc lors d’une inspiration inoubliable que ma belle sœur à proposée un des moyens de transport les plus anciens et des plus originaux, la poche ventrale !
Clairement c’est un moyen de locomotion à sens unique et la sortie du véhicule est strictement irréversible. C’est un voyage unique et inoubliable, le premier et très certainement le plus fantastique. C’est peut être aussi pour cela que nous courrons après les voyages, les découvertes tout au long de notre vie, afin peut être d’approcher du voyage ultime dont nous avons oublié que nous l’avions déjà fait…