C’est pas tous les jours qu’on marche sur le tarmac de l’aéroport de Roissy Charles de Gaules, en tout cas pas moi. Le plus souvent, dans ces aéroports tentaculaires, on se fait aspirer par une passerelle d’embarquement, ou de débarquement, suivis de couloirs interminables qui vous donne parfois l’impression de traverser un boa des sonnettes à la queue !
Mais ici, que nenni, pas la moindre passerelle aéroportuaire, ce qui nous a permit de fixer le soleil couchant à la barbe et au cul des avions… On remarque d’ailleurs que certaines compagnies à bas coût aime les escaliers mobiles pour leurs clients. Pour notre part, nous étions dans la compagnie nationale tricolore mais manifestement sans ministre à bord. C’est tout aussi bien si on souhaite profiter au maximum du tarmac.
D’ailleurs, il viens d’où ce mot ?
Hop, Wikipédia est encore là pour nous secourir de notre ignorance en nous rappelant (apprenant) que c’est une concaténation de goudron-macadam en anglais, avec un beau ® car il le vaut bien. Cela étant dis, il n’y a que les amateurs à utiliser ce mot ce qui me convient très bien m’évitant d’utiliser la petite valse internationale : tango alpha romeo mike alpha charlie !