Après la mise à l’eau des dériveurs, dernier débriefing pour nos jeunes avant de partir pour quelques bords à se tirer la bourre… Ce jour là, la fédération française de la voile (FFV) avait elle aussi un stage national sur ce même super lac mais sur d’autres bateaux. Il faut dire que le cadre au pied du Piquet de Nantes avec l’Obiou et Chamechaude en arrière plan lointain, c’est exceptionnel ! Cependant, il n’y a pas que cela. Pour les planches à voile et le grand vent, il est préférable d’aller légèrement plus à l’Ouest sur le lac artificiel du Monteynard.
Mais les régates ne se cours et ne se gagnent par toujours par grand vent. Par petit vent ou par vent changeant, il faut être bien plus subtil dans la conduite de son bateau : éviter les mouvement brusque à bord, regarder d’où viennent les risées, les anticiper, étudier le plan d’eau et l’orientation du vent sur celui-ci en fonction des zones et des montagnes alentours… Bref, le plan d’eau peut être très technique et pédagogique dans de nombreuses conditions.
En ayant donné quatre points cardinaux, le lieu devrait être facile à trouver !
Alors alors ?
Mais ou fait-on de la voile à coté de Grenoble, sur le lac de Laffrey bien évidement (entre autre).
Vers midi, après avoir remonté au près une bonne partie du lac, grande descente au grand largue et parfois vent arrière pour nos débutants en herbe. Ils arriveront pour manger avec un petit quart d’heure de retard mais par une aussi belle journée, le temps n’est heureusement pas compté.
Hello,
un conseil lecture sur fond de régates: Jim Lynch, Face au vent, Gallmeister.
Bises
sophie