Cette Peugeot 404 n’est pas la seule que l’on rencontre dans les rues de Mendoza, même s’il peux se passer plusieurs jours sans en voir une… Mais celle-là, avec son échelle sur le toit et son look d’enfer, j’aurais été un artiste peintre que j’aurais sortie mon chevalet en pleine rue ! Je l’ai donc mitraillé le plus rapidement possible.
Bien m’en pris. Deux gentlemans sont arrivés peu de temps après, un au volant, un à l’arrière pour pousser. Je me suis précipiter pour lui donner un coup de main, mais ces anciennes voitures, ça n’a pas de couple et ça démarre donc au quart de tour super facilement. On oublie cela, nous qui avons nos monstres remplis de chevaux ! Bref, le chauffeur m’a remercié même si je n’ai pas réussi à poser la main dessus. Elle nous a quitté sans bruit le long de l’avenue…