Ker Groix-Noble

En général, le barbecue ne marche pas ou très mal à Noël.

Pourquoi ?

Non, ce n’est pas le fait qu’il y ait de la neige ou que la météorologie soit pluvieuse. Elle est parfois humide l’été, il suffit alors de laisser passer le grain. Et ce n’est pas la couleur du sol, blanc ou vert qui influe sur l’état du barbecue…

Quoique !

En effet, à mon sens, ce qui fait qu’un barbecue ne fonctionne pas à Noël est principalement dû au froid. S’il fait très froid, et c’est normalement le cas lors des jours les plus courts de l’année, le feu n’est guère intense et a du mal à générer une forte chaleur sur son pourtour, notamment sur la grille. Il faut dire qu’entre -10° et +20°, il y a 30° d’écart tout de même. Alors si le sol est blanc de neige, il est raisonnable de penser qu’il ne fait pas 20° dehors !

Alors…

Cette année 2015 finit aux tropiques. Il n’y a quasiment pas de neige, les hauts sommets sont blancs mais blancs des premières chutes, il y a 1 mois de cela. Alors on ressort le barbecue histoire de manger un épis de maïs bien chaud, une saucisse (beurk) et finir comme il se doit les braises avec une série d’aubergines. Rien ne vaut le caviar d’aubergines préparé au barbecue.

PS : réchauffement climatique et station de skis, comment aller à 180° de la COP21 :  Les Karellis !

Pourquoi ne pas sortir du chapeau une photographie d’été en plein hiver ?

A cette question hautement philosophique, et après de nombreuses heures de réflexion intenses, j’ai finalement répondu par banco ! Mais une photographie de plage et de sables fins, à 30° sous les cocotiers, ce n’est pas si original que cela…

Je suis donc remonté en 1998, époque où nous déboulions avec un ami (Fred) assis dans le plateau arrière d’un truck (4×4) à travers les landes d’Alaska, au pays où la nature finit à l’infini du regard, où les traces de civilisation disparaissent quelques mètres au delà de la piste. Confortablement installé dos à la route, appuyé contre la cabine, à l’abri du vent, nous voyons la piste disparaître dans ce paysage assez fantastique aux éclairages souvent sublimes.

Cette piste, cette route menant au grand nord partant de Fairbanks est un des rares chemin d’Amérique permettant de monter là où le soleil ne se couche pas l’été. A cet endroit, nous sommes encore loin du cercle polaire, nous traversons les vastes champs de collines menant au Yukon, fleuve mythique que nous verrons certainement un jour prochain ici même !

Comme tout un chacun le sais bien, sur Mars, la planète rouge, le soleil couchant n’est pas rouge mais bleu ! Ainsi commence la première mais non la seule grande erreur du film Seul sur Mars…

A noter que le CNRS a consacré un article assez détaillé sur ces aspects techniques, ce qui ne m’empêche pas de trouver le film assez sympathique même si je trouve personnellement les deux derniers blockbuster du genre, soit le film Interstellar nettement plus créatif dans son scenario, surtout avec la scène du tesseract (temps), et Gravity beaucoup plus réaliste à mon sens dans ses effets spéciaux même si l’histoire est complètement impossible pour un bête mais capital problème d’orbite spatiale…

Ainsi, seul un arbre poussant sur Mars, à l’abri d’une falaise orientée à l’ouest, pourrait devenir bleu. Un bleu à faire baver nos biologistes. Ce n’est pas chez nous qu’on risque de trouver cela !

Et pourtant, à Barret-de-Lioure, petit village / hameau perdu de la Drôme ayant moins de 100 habitants, c’est bien ce qui pousse en son centre. Cet arbre aux grosses branches sans rameau et sans feuille s’y trouve tellement bien qu’il a des fruits en abondance. 2015 est décidément une bonne cuvée martienne !

Alors que j’ai passé une grande partie de la semaine dernière dans des amphithéâtres fermés, ne voyant s’il faisait jour ou non, ne sachant si faisait sec ou humide…, j’ai profité du transport du matin, à l’aube du jour, pour faire quelques photographies, peu nombreuses de par le manque de temps et l’éclairage rarement favorable.

Ainsi, le  long de la ligne 3 du tramway, nous sommes parfois loin de l’austérité d’Antigone. Ici, les couleurs renaissent mais parfois s’éteignent. Tout n’est pas rose, il y a du bon et du moins bon dans ce quartier, il y a trop de pauvreté aussi. Est-ce pour toutes ces raisons météorologiques et sociologiques que l’arrêt du tramway s’appelle Pergola ?

Quand l’arc en ciel perce les gris de l’orage, on se dis qu’il y a toujours de l’espoir !

Le titre est trompeur, avons-nous une Terre ? Je suis tenté de dire oui mais j’ai bien envie de dire non. Nous n’avons pas une Terre, nous n’avons qu’Une Terre : La Terre. Les autres ne sont que des avatars, certes sympathiques, jolies, ou parfois éloignés de plusieurs dizaines / centaines d’année lumière…

Celle présentée ici est à Montpellier sur la fameuse place de la Comédie, au crépuscule du jour la semaine dernière. Alors qu’au Bourget, des milliers de personne tentaient de trouver un accord sur le climat, alors que le jour allait bientôt faire place à une nuit fraîche, je suis saisi par l’immensité du Pacifique ! Que d’eau, que de vie, comment avons nous pu mettre tout cela en équilibre instable en si peu de temps…

Alors que nous venons de perdre 30 ans, que nos politiques ont oublié le prix du carbone, des guerres civiles et laisser passé le choc pétrolier, il est temps que les tarifs à la pompe monte plus vite que le coût de la vie si nous voulons avoir quelques espoirs de respecter l’accord signé.

Que faites-vous de vos sachets de thés ?

Voila sur ces quelques photographies notre production sur de ces derniers 15 jours. Pour l’obtenir, la méthodologie est simple : garder tous les sachets dans un coin, non pas en tas, mais en essayant de les faire sécher au début durant un jour ou deux avant de les stocker dans une boite ouverte (en général, au bout de deux jours, ils ne sont pas encore parfaitement secs, surtout à cette saison). Puis il suffit de s’asseoir sur un tabouret et de les ouvrir un à un et d’en verser le contenu dans une coupelle.

On remarque rapidement que les sachets bien secs occupent bien moins de volume dans la pyramide que les derniers utilisés la veille dans laquelle la poudre n’a pas perdue toute son eau. Il faudra que je fasse un test plus poussé afin de voir la différence de poids…

Dans tous les cas, si on souhaite réduire son volume de poubelle, il y a tout intérêt à faire sécher avant de jeter et une fois sec, il est alors si simple de mettre tout cela dans un compost, des plantes ou tout simplement en forêt. A noter que l’effort à fournir est assez faible et que le processus ne génère aucune odeur désagréable à aucun moment.

En me promenant dans Meylan, non pas dans les rues mais par les petits chemins et il y en a pleins, on découvre des maisons, des jardins, des arbres, des paysages, des points de vue parfois surprenant.

C’est ainsi que je suis tombé sur cette espèce de résurrection de dinosaure, ou plus probablement un lézard mutant ayant passé quelques nuits à Creys-Malville…

On se doute alors, nous sommes sur un chantier de construction d’une nouvelle villa, que ce truc sort de terre. Quand on voit ce que les entrailles de la terre veulent bien nous montrer de temps en temps, on se dis qu’il y a plein de merveilles sous nos pieds qui dorment.

Savez-vous à quoi ressemble une élection à l’université ?

On pourrait répondre par une autre question tout aussi simple : parce qu’il y a des élections dans les universités ? En effet, il est raisonnable de se poser cette question. Un regard extérieur ne voit rien des processus électoraux ayant régulièrement lieu sur nos campus. Aucune affiche, très peu d’article dans les journaux si ce n’est pour annoncer le résultat (et encore), quelques assemblées des candidats sur les divers sites et une flopée de courriel interne des divers corps. En effet, en France, on vote par liste, par corps (castre) et par conseil, ajouté à cela une pincée non négligeable de membres extérieurs nommés, réunissez les tous (les trois conseils) pour leur faire choisir un président(e) et le tour est joué. En général, il y a une liste qui se détache avant le scrutin, l’élection est au final assez consensuelle. Lorsque ce n’est pas le cas, c’est souvent signe de tension importante en interne !

En Argentine, de ce que nous avons compris, il y a le vote d’un ticket rector et vice-rector au scrutin majoritaire direct à deux tours. Au final, un scrutin assez proche du scrutin présidentiel français. L’université publique a, semble t-il, bien plus d’importance dans la vie de la cité. A Mendoza, l’Université nationale de Cuyo gère par exemple un cinéma au centre ville, douze collèges/lycées… Le rector nous a semblé avoir un poids bien plus conséquent qu’un président d’université en France mais tout de même moindre qu’un recteur d’académie. Il faut dire que le recteur ici bas est loin d’être élu… Avec la fusion en cours sur Grenoble des trois universités qui sera effective au 1 janvier 2016, nous allons peut être suivre à terme cette même tendance. Je doute cependant que les universités françaises retrouvent la moindre influence sur le baccalauréat, pourtant première diplôme universitaire… et barrière de sélection pour y être admis (oui, l’université a toujours été sélective, vous ne le saviez pas).

Revenons à nos moutons. En pratique, alors que l’université argentine a bien moins d’argent que l’université française (même si on se plaint toujours que nous n’avons jamais assez), la campagne électorale s’affiche sur le campus et au abord de celui-ci a un point jamais vu ici. Des dizaines d’affiches en couleur, des panneaux, des banderoles jusque sur les poteaux du trolleybus… Je ne sais pas comment font les candidats pour financer une telle campagne mais la campagne électorale est beaucoup plus politisé qu’en France. En Argentine, une bonne partie des candidats semblaient encartés dans un parti politique alors qu’en France, ils sont en général assez flou sur leur affinité droite/gauche mais s’avèrent une fois dans leur fauteuil presque toujours d’accord avec le(a) ministre en place !

En voila une manière de compter le temps, attendre au même endroit et y regarder l’entropie. Parfois elle augmente, parfois elle diminue. Dans notre cas présent, en un peu plus de 600 jours, il est clair que notre artiste a bien avancé… Ce qui n’était pas forcément clair en mars 2014 devient évident en novembre 2015 : pas d’exploitations minières intensives !

Avant d’aller plus loin, il faut replacer les photographies dans leur contexte. Cet ancien hangar ferroviaire est situé à Puente del Inca, à 2700m d’altitude, sur la route nationale 7 reliant la ville de Mendoza à Santiago. Nous sommes très proche de l’Aconcagua dans cette grande province ayant aussi pour nom Mendoza.

Or les mines sont interdites dans cette province (non les carrières) !

Il est possible que les changements de ce WE à la présidence du pays modifient le cap. Cependant, les provinces ayant une large autonomie (jamais en France une région pourrait poser l’interdiction totale des mines), c’est peu probable sur ce sujet précis. On peut noter que la province de San-Juan au nord de celle de Mendoza regorge de mines alors que cette dernière, pétrolifère, n’en as pas besoin…

Alors pourquoi ce slogan à cet endroit précis ? La pêche aux informations est ouverte !

Comment faire pour conserver toutes ses bonnes châtaignes ? En effet, les petits vers et autres petites bêtes passent rapidement de l’une à l’autre jusqu’à épuisement du stock… C’est sympathique pour elles mais peu ludique pour nous !

Il y a certainement plein de technique plus moderne les unes que les autres, passage au four, aux rayons X, au congélateur… C’est cependant sur Wikipedia que j’ai trouvé une solution qui m’a bien donnée envie d’essayer : l’immersion dans l’eau douce.

On noie donc toutes les châtaignes pendant 10 jours dans une caisse dont on renouvelle l’eau tous les jours. Il ne reste plus qu’à faire sécher tout cela, pour nous une bonne semaine sur une dalle chauffante. Avoir toutes ces boules à même le sol durant tout ce temps, je ne vous raconte pas le pi… Heureusement que les vacances scolaires se sont glissées durant cette période !

Au final, plus une bête, plus un ver, des châtaignes nickels mais plus du tout fraîches… Qu’il est difficile de ne pas gagner sur tous les tableaux ! Elles sont devenues dures comme du bois et doivent donc être cuisinés en sauce après trempage. Ceci dis, elles sont toujours bonnes et nous allons ainsi pouvoir les manger jusqu’au bout, à la grande insatisfaction des merles et autres prédateurs du coin !

Vous allez encore vous demandez où j’ai bien pu trouver ce mot pour titre. Je vous rassure de suite, ce n’est pas du tout ce qu’est en train de nous dire ce cerf adulte à gauche qui pousse une petite gueulante via un brame bien puissant !

En tombant sur cette photographie prise en septembre 2014 dans le parc du château de Vizille, j’ai de suite imaginer son cri mais je n’avais en tête que les hurlements des loups de L’Appel de la forêt qui me remontaient aux oreilles. Après quelques recherches, je suis rapidement tombé sur ce corpus d’onomatopées tout à fait passionnant.

C’est donc en chien que je vais finir cette chronique sans vous donnez la réponse à votre question, ainsi vont parfois aussi les belles histoires…

Le tiramisù est un désert d’origine italienne qui a trouvé sous notre toit un cocon favorable. En effet les enfants, et tout particulièrement Karel, sont devenus expert en la matière.

Il n’est pas difficile de trouver une recette sur le net histoire de ne pas toujours faire la même. Chez notre ami Marmiton, il y a à ce jour 386 recettes différentes tournant autour du pot !

Il y a deux étapes à ne pas oublier si on souhaite un rendu impeccable, le passage par le réfrigérateur et le saupoudrage avec un peu de bon chocolat juste avant de servir. Sur notre dernier essai, un épluche légume a taillé dans une tablette de chocolat noir de nombreux copeaux de toutes tailles, c’est aussi assez très classe (et très bon).

La photographie de Karel est un portrait macro dans son assiette verte. Cela donne envie d’en reprendre de suite. Il n’y a malheureusement plus de rab depuis déjà plusieurs jours !

Voila un titre qui parlera certainement plus aux Lillois qu’aux Marseillais ! En effet, Stocks était un petit groupe du Nord, grandement piloté par Christophe Marquilly (guitare, chant) qui a d’ailleurs écrit toutes les chansons.

Malgré des textes parfois un peu court qui auraient été sublimés avec un travail un peu plus approfondi, le groupe avait un punch d’enfer, surtout en concert, avec des riffs à la guitare pouvant, sur un morceau, entraîner  l’intégralité de la salle dans une transe collective.

Il est malheureusement difficile de trouver aujourd’hui des CD du groupe (et à un prix raisonnable), d’autant plus qu’il n’y en a pas eu de nombreux d’enregistrés. Heureusement, YouTube ou DailyMotion sont ici de bonnes sources qui nous permettent de se faire plaisir quelques instants et perdre ainsi quelques années !

Quelques morceaux assez intemporels de ces ZZ Top français, avec une mention spéciale pour Suzy que je dédie à mon amie Sofy ! Un troisième album est sortis en 2002 mais je ne l’ai jamais écouté.

Album : Enregistré en public – 1982 (extrait fnac)

1. Le Nord 3’05
2. Hey Joe 3’25
3. Stetson blues 4’35
4. Ça m’fait tout drôle 3’30
5. Cocaïne 3’45
6. Cole Younger 2’40
7. Rien à dire 3’50
8. Caracas 3’45
9. Suzy 5’15

Album : Éclats de Rock – 1984 (extrait fnac)

1. Elle me voit pas
2. Le Walkman
3. Le bistrot
4. Flash back
5. Je vais craquer
6. L’indépendant
7. La tête à l’envers
8. La nuit est tombée
9. Elle aime le boogie
10. C’est bel et bien fini

Pour ma pomme, Stocks est certes imparfait mais sa musique est plutôt d’actualité que dépassée. Ils ont la pêche et c’est bien pour refaire le plein !

Avec une petite forme et une cheville en compote, départ de Montbrun-les-Bains à 9h08, arrivée à Sault vers 9h50 en roulant très tranquillement pour le début de l’ascension officielle du Ventoux par l’est et 26km de côte. Première pause de la journée vers 10h10 et seconde dans la forêt vers 11h10, bref toutes les heures. J’arrive au chalet Reynard (1 417 m) vers midi et au sommet (1 911m) à 12h55. Ça caille depuis le départ et il y a un vent du nord glacial…

Au vu de ma bonne forme au sommet, je suis monté tout en douceur en essayant de ne jamais forcer, je décide alors de basculer à l’ouest vers Malaucène, 50min de descente raide et sur route très humide sur le haut. La montée par ce versant doit être dure ! Arrivé en bas, je me rends compte que Montbrun est bien loin… J’enquille la départementale D242 après m’être renseigné auprès d’agents municipaux pour un jeu de montée descente afin de passer à coté du hameau de Veaux et finir par enfin trouver la D40 de Mollans sur Ouvèze à Montbrun-les-Bains pour une dernière côte finale, peut-être celle de trop ! Ensuite, le trip entame une courte descente sur Saint-Léger du Ventoux avant de remonter tranquillement la rivière jusqu’à Montbrun-les-Bains. Les 20 derniers kilomètres sont faciles, on commence juste à trouver cela un peu long, surtout les fesses !

Retour au bercail à 16h40 pour une virée de 7h30. Ce n’est certainement pas un record mais c’est juste plaisant de l’avoir réalisé à sa vitesse, en solo et sans carte. Par ailleurs, j’ai à peine eu mal aux jambes les jours suivants, si c’est pas le bonheur !

Impossible de changer la couleur de cette porte, le chemin de la porte bleue porte non pas son nom mais sa couleur !

Imaginons un instant une porte de couleur fuchsia, alors la rue se serait appelée chemin de la porte fuchsia. Cela parait assez incroyable. Imaginons encore que tous les 10 ans, la porte passe du bleu au fuchsia puis du fuchsia au bleu comme le font par exemple des ponts en bois au Québec. Alors tous les 10 ans, il faut réunir un conseil municipal afin qu’il vote le changement de nom de la rue !

Pendant ce temps là, le facteur prends sa retraite et un petit jeune le remplace. Mais où il est bon dieu ce put*** de chemin de la porte fuchsia !! Il n’y a que du bleu de partout !

Bref tout cela semble impossible mais au pays de Berlioz (Faramans), les notes s’assemblent et forment des harmonies que nul n’avait imaginé. Ainsi, pourquoi pas une porte Elmer par exemple, il y a bien des ponts qui muent ainsi…

Un arc en ciel, cela parle à tout le monde. Un brin de pluie avec quelques rayons du soleil dans votre dos et hop, vous êtes face à un magnifique arc décoloré dans le ciel.

Maintenant, imaginez voir un arc en ciel alors qu’il n’y a pas de pluie et que vous regardez le soleil de face. Vous vous dites que ce n’est pas possible, que cela n’existe pas et pourtant si, le phénomène est bien réel !

C’est en effet arrivé un dimanche début octobre sur Grenoble alors que le soleil allait non pas se coucher mais se cacher derrière la barrière du Vercors. Le ciel, humide à haute altitude par une variété de Cirrus, enveloppe d’un arc décoloré le soleil.

La photographie prise à cet instant là n’est peut être pas un modèle du genre mais j’ai sauté sur l’appareil pour en prendre quelques unes. Je ne sais pas comment personnellement prendre le soleil à contre jour dans ce genre de situation. Si vous avez des astuces spécifiques qui fonctionnent et qui, par ailleurs, seraient facile à retenir, n’hésitez pas à les partager !

Vous connaissez, les Schtroumpfs ? Cette bande dessinée créée par Peyo en 1958 a du faire rêver 99% des enfants de métropole au moins une fois dans leur vie. Il est clair que les scenarii des albums sont le plus souvent assez simple et que le public visé est jeune. A partir d’un âge certain, on bascule en général sur d’autres séries où plusieurs lectures sont possibles. Il y a par exemple les papyrus Gaulois à l’affiche actuellement qui se lisent bien par tous (même par ceux qui ne savent pas encore lire), surtout les premiers tomes et les derniers une fois qu’un scénariste est revenu dans l’arène !

Il n’empêche, cette idée initiale de construire des histoires autours de petits bonhommes bleus vivants dans des champignons est géniale. Le cadre aussi : une grande forêt entouré d’hommes et des femmes rarement visible (sauf le méchant), le tout au moyen-âge, une époque à la fois sombre et spirituelle dans laquelle s’ancre une partie de notre imaginaire collectif.

Ainsi, à l’issue d’une promenade en forêt, nous sommes tombés sur la cité des Schtroumpfs . Non pas le petit village à la centaine d’habitants, mais la grosse cité avec des ramifications, des autoroutes urbaines permettant le déplacement rapide et en trois dimensions parmi les champignons, ses banlieues périphériques… Évidement, vous aimeriez bien qu’on vous dise où se trouve cette fameuse citée ? Il n’en est pas question !

En traversant le campus de Grenoble la semaine dernière, je tombe par hasard sur cet assemblage désarticulé a qui je trouve instantanément un charme certain. Par malchance ou par chance, je n’ai alors aucun appareil photographique sur moi.

Du coup, dès le lendemain, aux derniers rayons du jour, je me pointe en bas de la tour. Ouf, les éléments sont toujours là, ils n’ont pas été pris volé ni monté !

A vrai dire, ce n’était pas une grosse crainte. Vu l’état de l’échafaudage et vu le niveau d’avancement de la paroi qui doit accueillir cet escalier de secours, je ne suis pas sur qu’il n’ait, même une semaine après, beaucoup bougé.

Je suis toujours surpris qu’on continue de faire des escaliers en acier. Certes, il est dehors et ne crains donc pas vraiment le feu mais tout de même (les charpentes en acier sont très peu résistantes au feu, bien moins que celles en bois par exemple). Surtout qu’ici il y a un paquet d’étage et il manque tous les premiers niveaux sur la photographie !

Je n’ai qu’un regret, que les éléments de l’escalier n’aient pas tous été aligné au sol. Un damier formé de plus d’un dizaine de vis géantes, ça en jette…

Alors que certaines années nous avons la chance d’avoir en octobre un retour de la douceur, point de salut cette année. Les températures sont bien plus faibles que la normale, le soleil se cache souvent. La preuve, j’ai du remettre la chaudière le 13 octobre car l’eau chaude solaire devenait désespérément froide jour après jour…

Alors il a neigé, il a même bien neigé. Le 14 septembre pour les premières chutes, légères, sur Belledonne. Mais celles du 15 et du 16 octobre nous donnent un avant goût d’hiver. On en aurait presque chaussé les skis de randonnée !

Cependant, la petite journée hors norme de samedi ramena vite les pistes de Chamrousse à une soupe peu engageante (vue de loin). Avec ce petit champ de fleur en premier plan, on se croirait presque au printemps !

La saison de la chasse est ouverte, les marrons sont tout simplement tombés au sols. A priori, ce n’est pas une grande année comme l’an passée, il aurait fait un peu chaud et sec début juillet lors de la canicule. Mais si l’on accepte de s’écarter de quelques mètres du chemin principal, il en reste quand même pas mal au sol, suffisamment pour nous !

Notre spot du jour nous avait été donné par notre pote Raf, un coin pas loin de Voiron où faire du vélo doit être bien sympathique. Enfin, il faut prévoir des pneus anti-crevaison avec triple chambres à air vu le tapis de bogues au sol. Épines en vue, à perte de vue !

Au final, à force de trouver un peu plus loin le long du chemin des châtaignes un peu plus en chair, notre petite récolte a rapidement dépassé notre capacité d’ingestion : 4,5kg. Le temps de l’arbre à pain est peut être à remettre au goût du jour, du moins durant quelques semaines…

Cela fait un bout de temps que je pensais à cet article mais j’avais un problème de nom. Je ne savais pas comment qualifier cette chose !

Tout a commencer un samedi 8 juin 2014 sur les pentes du col reliant Mendoza à Uspallata via Villavicencio, la RP52. C’est la piste historique pour aller au Chili, surtout utilisé a des fins touristiques. Alors que la météorologie n’était pas bonne, peu de visibilité et beaucoup de vent, nous avons croisé, en plus des quelques pavés qui tombaient devant ou derrière la voiture, deux cyclistes qui effectuaient l’ascension du col. Par un temps pareil, chapeau, car parfois, le nuage de poussière cachait la route à 5m et je n’ose imaginer un tel vent de face, de telle condition et en côte !

Toujours est-il qu’un des deux cyclistes avait des pneus incroyables, ÉNORMES ! Des trucs que je n’avais jamais vu et dont à vrai dire, je ne voyais pas trop l’intérêt sur cette piste. Les fourches sont plus larges, les pneus sont plus lourds, la prise au vent est plus importante, la côte doit être terrible pour les cuisses avec un truc pareil !

En descente dans un terrain boueux, sableux ou sur la neige, par contre je ne dis pas…

A l’époque, j’avais mis de coté, une chose de plus dans un coin du cerveau … jusqu’au jour où j’ai entendu le mot de big fat pour ce genre de bestiole. Cette bicyclette roule a priori avec des pneus 26×4,0 et on appelle ces engins des fatbikes. Un jour, un terme plus francophone sortira certainement, en provenance du Québec probablement, mais à cet instant, je n’ai pas d’idée à proposer puis à répandre sur la toile !

Cela faisait longtemps que nous n’avions pas vu un barrage sur ce blog. Voici donc le barrage de Collanges sur l’Eyrieux. Afin d’être un peu plus précis, il est situé un peu en amont du sympathique petit village Le Cheylard. A vrai dire, cela ne vous avance peut être pas…

Si vous voyez où est Valence, le Valence de la vallée du Rhône, capitale de la Drôme et non l’espagnol, Le Cheylard est à environ 20km à l’ouest, mais l’Eyrieux qui passe par là car il faut bien passer quelque part, se jette dans le Rhône à la Voulte-sur-Rhône. Bref, c’est un coin d’Ardèche qui semble bien tranquille, loin de tout et pourtant si proche.

Le barrage en lui même est assez atypique avec ses grandes ouvertures carrées. Il est droit, rectiligne, en béton brut avec un trop plein énorme, titanesque, sur toute la largeur du barrage. On cherche parfois la courbe et la pièce dissonante dans cet ensemble. C’est justement sur ce trop plein qu’on la trouve avec cette espèce d’aileron qui se répète et dont la fonction ne semble pas triviale. A quoi pourrait bien servir de séparer la cascade en plusieurs morceaux ? On trouve sur Youtube quelques vidéos où l’eau déborde. Cela fait un bruit du diable et a une esthétique toute particulière. Pas de chance ou par chance, le jour de notre passage la météo était fort clémente ce qui est assez agréable lorsqu’on visite la vallée en bicyclette !

Une fois n’est pas coutume, nous allons aller piocher les images ailleurs, sur le site web de David J. Lorenz. C’est un chercheur de l’université du Wisconsin qui travaille sur la variabilité et le changement climatique ainsi que sur le traitement d’images permettant le passage des données d’une résolution de grille vers une autre… Il est possible de jouer directement avec ces images dans Google Map. Cela permet de zoomer et de se déplacer, c’est bien plus amusant !

Nous avons ici des données de l’année 2006. Il s’agit de l’éclairage de nuit sur terre. Attention, c’est une projection de données, il ne s’agit pas de photographie. On reconnaît cependant bien l’Amérique du Nord et l’Asie. Il n’y a pas de grosse surprise. On remarque ainsi que l’Afghanistan est quasiment noire, qu’un peu au dessus, la vallée de la Ferghana rayonne et ainsi de suite. Sauf que, sauf qu’il y a un énorme parquet de lumière au nord du Kazakhstan, en Sibérie, et qu’il n’y a pas vraiment de grande ville par la bas. Le gaz Russe doit provenir de là ! Idem en Alaska où l’on reconnaît bien les villes d’Anchorage et de Fairbanks mais, tout au nord, c’est Prudhoe Bay qui éclaire de son pétrole noir…

Coté hémisphère sud, c’est plus sombre. Le Nil semble radioactif, Madagascar inexistant au contraire de La Réunion et de l’île Maurice. Ne cherchez pas où se trouve le Nigeria, son pétrole en parle mieux que quiconque… L’Amérique du Sud est calme, même très calme sous la ligne Buenos Aires – Santiago passant par Mendoza, la grande ville de l’ouest Argentin. La forêt amazonienne par contre est loin d’être noire, ce qui n’est pas forcément bon signe…

Du coté de l’Europe, je vous laisse découvrir par vous même. Il va falloir changer nos habitudes si nous souhaitons que nos parcs nationaux soient aussi des réserves la nuit !

Plus ça passe !

Mais où sont les journalistes dans ce pays ? A par poser des questions gentilles et puériles, que font-ils réellement ? Les médias ne sont-ils censés être un contre pouvoir ? Mais encore faut-il qu’ils le souhaitent ! Or depuis que l’état a autoriser les groupes industriels du domaine militaire à investir dans les médias (investissement interdit après guerre), les choses ne s’arrangent pas…

Ainsi Emmanuel Macron, homme de gauche selon lui, considère que le libéralisme est une valeur de gauche. Je cite le journal Le Monde car c’est assez édifiant : Déterminé à montrer qu’il ne s’est pas trompé de famille politique, le ministre a exposé sa conception de la lutte contre les inégalités, qui n’est pas, selon lui, « la correction ex post de [ces] inégalités » mais « l’égalité des chances » et la « valorisation de la réussite ».

Super, être de gauche est donc mettre en valeur les gagnants du loto, les rares étudiants venus des milieux défavorisés qui réussissent l’X ou l’ENA… Bref, faire croire qu’on a tous toutes nos chances alors qu’une étude même superficielle de la société américaine montre évidement le contraire. Macron est un américain dans l’âme qui nous prends pour des vaux, il n’y a pas de doute. C’est certainement un démocrate la bas donc un républicain chez nous !

Il en rajoute encore une couche avec ses lignes d’autocar. Soit disant, 700 emplois ont été crée. Je ne vous dis pas ce qui va se passer au premier accident, qui ne saurait malheureusement tarder ! 700 emplois, mais ce n’est rien par rapport au nombre de personne qu’il faut pour maintenir les lignes de chemins de fer, entretenir le matériel roulant et tout et tout. Ce mec nous engage sur une voie anti-écologique pour une poignée de faux emplois. Combien d’emplois perdus à Alstom et dans la sous traitance ferroviaire ?

Je pense que le prix du carburant n’a jamais été aussi bas depuis longtemps, je pense que le transport aérien ne paie pas réellement de taxe sur le kérosène. En augmentant lentement mais sûrement les taxes sur ces carburants afin de limiter petit à petit notre impact carbone tout en étant socialement acceptable, nous pourrions investir très fortement dans des liaisons ferroviaires inter-villes électriques qui représente, à ma connaissance, le seul moyen de transport durable et un tant soit peu rapide !

Ce bonhomme à l’allure sympathique me semble effroyablement antipathique…

Il parait que la moyenne du nombre de fautes d’orthographe sur cent mots est passée de 2,73 % à 5,92 % ces vingt dernières années. C’est un article du Monde qui nous le révèle… en partenariat avec le projet Voltaire.

En bas de l’article, il y a aussi un petit quiz comportant 10 questions. En général, je passe rapidement mon tour sur les quiz mais là, je me suis dis que j’avais progressé en orthographe ces dernières années. Le fait d’écrire régulièrement des courriels pour la collectivité au travail et mon petit blog hebdomadaire ne pouvait qu’avoir amélioré les choses.

Patatras, j’ai commencé le quiz par un score catastrophique avant de récupérer quelques points sur la fin : 4 / 10 !

En pratique, il y a des questions à la con avec des pluriels de couleurs, des COD placés à gauche du verbe, des exceptions… Bref un certain code qui n’a, a priori, aucun intérêt réel sauf pour les fanatiques de la dictée de Pivot.

Il m’avait semblé que Voltaire avait activement participé à la simplification de l’orthographe mais j’ai principalement  retrouvé des traces concernant l’abbé Pierre-Joseph Thoulier, son professeur ! Sur le même sujet, Émile Faguet a écrit un très joli texte il y a un peu plus de 100 ans ayant pour titre : Simplification simple de l’orthographe. Je vois que l’académie a vachement bossé le sujet depuis !

Voici une petite voiture qu’on ne remarque pas forcément au premier abord ! Enfin, c’est peut être ce qu’en croit le propriétaire lorsqu’il se gare dans les bois car en plein soleil sur le parking du village, impossible de passer devant sans détourner l’œil.

Sous sa façade boisé, on reconnaît un Peugeot Partner premier modèle, celui qui a commencé sa carrière en 1996. C’est assez étonnant de se dire qu’alors que les petits utilitaires grouillent de nos jours dans les rues, Peugeot n’a réalisé son premier modèle qu’en 1996… alors que le C15 chez Citroën (même groupe) date de 1984 (certes, il était très laid).

Afin de conclure avec une légère touche rétro, voila une petite infographie sur l’histoire des utilitaires chez Peugeot. C’est le D3A qui m’a le plus attiré de la série, peut être parce qu’il me rappelle l’Estafette de Renault, plus jeune, qui était omniprésent dans les rues de la capitale au début des années 70.

• 1515 : Marignan
• 1516 : ?

Voyons, 1516, cela ne vous rappelle rien ? Moi, cela me rappelle un vieux sketch des frères ennemis : 1516, premier anniversaire de la bataille de Marignan…

Donc, il y a 500 ans, le nouveau roi de France depuis le 25 janvier 1515, François I^er, roi un peu malgré lui, conforte sa position par une petite guerre auquel il participera. Une guerre en Italie, dans la banlieue sud de Milan : Melegnano, qui a été traduit à l’époque par Marignan. Tous les écoliers connaissent cette date et pourtant, quasiment personne ne sais plus ce que représente réellement Marignan !

Le roi emmène donc ses armées la bas en passant par Grenoble où il récupère la star locale, le chevalier Bayard « sans peur et sans reproche« . Suite à deux jours de combat, chose assez rare en ces temps là, il gagne le 14 septembre la boucherie avec l’aide des vénitiens (plus de 16000 morts quand même) face à une armée helvète considérée en ce temps là comme invincible…

La royauté s’en trouve renforcée, la propagande au cours des siècles suivant inscrira cette date dans la tête de tous nos bambins. N’ayant jamais été à Melegnano, la photographie est une miniature  du château d’Aigle dans le canton de Vaud (Suisse) qui n’a aucun rapport avec toute cette histoire. Propagande, quand tu nous tiens !

Je ne vais quasiment jamais sur le site web du Figaro et je n’en est qu’une confiance toute relative mais leur infographie sur Marignan est assez courte et assez dense ! Concernant François I^er, il ne pas oublier que les Amériques venaient d’être re-découverte par Christophe Colomb (mort en 1506), cela ajoute peut être à sa légende…

Argh, toute bonne chose a une fin et les vacances sont belles et bien finies en métropole. C’est la rentrée scolaire ou plutôt, c’était la rentrée scolaire car cela fait déjà quasiment 15 jours, deux semaines !

Je retournerais bien à l’école 373 situé à Puerta de Lipan, un micro village au bord de la RN52  à 17 km à l’ouest de Pumamarca au nord de l’Argentine. Une école, une chapelle et guère plus !

Les écoliers habitent dans des hameaux, parfois à plusieurs kilomètres de là, rarement visible depuis la route. Ils font le trajet à pied ou en âne tous les jours, une à deux heures de marche quotidienne, cela vous maintient en grande forme, surtout à plus de 2900m d’altitude…

Cependant, avec un calendrier inversé, la tête en bas, ce ne serait par un vrai retour à l’école que d’y aller en septembre !

Dans les jardins publiques, il y a souvent des jeux pour les enfants et la plupart de ceux-ci sont assez classiques : toboggans… On retrouve un peu les mêmes partout !

Ce n’est pas le cas dans le petit square Jovin Bouchard de Saint Étienne situé en contrebas du musée d’Art et d’Industrie. Une sphère métallique en tube rond symbolisant je pense la terre entoure un arbre dont les branches sortent un peu par toutes les facettes de la boule, Le tout est jaune et donne très envie de grimper dessus, ce que font une partie des enfants, notamment les plus grands (dont les nôtres) car la distance entre les barreaux éliminent les plus petits (ce qui n’est peut être pas plus mal).

Alors, envie de regarder notre planète autrement ?

Et si NAO nous tapait dans l’œil ?

Pas à dire, il est vraiment sympathique, ce petit bonhomme d’Aldebaran (étoile la plus brillante de la constellation du Taureau). Dès qu’il apparaît en public, tous les enfants l’entourent, et aussi les parents ! Celui-ci était programmé pour danser et il se débrouille vraiment bien sur cette thématique, même si en fin de journée, les articulations et la batterie avaient un peu trop chauffé. Ainsi parfois, il s’écroulait, n’ayant pu suivre ce que son oreille interne (gyroscopes et accéléromètres) lui conseillait…

Personnellement, j’ai été très impressionné par la manière dont il se lève puis la facilité avec laquelle il marche. Je l’avais déjà vu en film mais en vrai, c’est encore mieux !

Le 14 août 2010, la lumière est descendue sur terre, en voici une preuve.

Alors qu’au premier plan se dresse la croix du camping d’Étel sur la ria du même nom, on pourrait croire que le rayon cosmique tombe à l’eau ou, plus sensé, en pleine mer (on peut voir un cargo au fond à gauche). Ce serait mal connaître la carte, pile poil dans cet alignement se trouve l’orient d’une île du ponant. La pointe de la croix sur l’île de Groix, par là où tout à commencé… un jour de septembre 2012, un petit phare pour éclairer le monde ! Cela fait 3 ans déjà, à la seconde près.

Décidément, ces territoires de l’ouest sont pleins de mystère !