Ker Groix-Noble

Et oui, il y a aura deux anniversaires pendant notre séjour.

Pour Tomin, le cadeau est venu dans nos bagages, la commande ayant été faite un très grand nombre de fois sous des tas de formes originales et donc, irrésistibles… On vous laisse chercher ce que cela peut bien être.

Même le menu avait été commandé aussi : tomates farcies à la « carne del asado » et un superbe gâteau tiramisu de notre pastelaria préférée, où nous avons pris nos habitudes le vendredi à 16h30, tout comme d’autres familles et enseignants du collège. Il faut dire que les glaces argentines sont absolument excellentes, il y a du sang italien dans ce pays.  Et puis pour les plus raisonnables, le café cortado est traditionnellement servi avec un verre d’eau gazeuse, un petit gâteau ou une media luna (croissant) ou una tortita.

Bientôt « una fin de semana larga« , 3 jours ce WE. Nous allons louer une voiture et tenter de voir THE sommet des Andes.

Vous connaissez ? bien sur, bien sur, me dites vous. C’est de la confiture de lait, y en a partout chez nous ! Mais celle-ci, que vous voyez sur la photo, a un gusto muy especial.
« Un gusto estilo colonial » qui n’existe qu’ici. D’ailleurs, on a décidé de faire une collection de pots vides… et elle grandit la collection, déjà 4. Ca nous permet de mettre des tas de truc dans le frigo. Sur qu’on aura envie d’en ramener une caisse à Grenoble; à moins qu’à ce rythme de consommation, on finisse par être ecoeuré. Il y a plein de marques différentes, mais là, je crois qu’on a trouvé la bonne.
Ca sert a beaucoup de chose le dulce de leche, à garnir des tas de gâteaux differents, dont les alfajores, contistués de 2 petits biscuits ronds collés avec une cuillère de dulce de leche…
Bref ça remplace la célèbre pâte à tartinée chocolat noisette bien connue de 7 à 77 ans, absolument introuvable ici, à la tristesse des « chicos ».
Il est vrai qu’ici le bon chocolat est rare, très rare, et cher, très cher, alors on garde le « toblerone duty free » pour une grande occasion.

La ligne aérienne entre Madrid et Santiago franchit la cordillère des Andes légèrement au nord de Santiago (pas trop non plus, les observatoires astronomiques sont à environ 600km). Les sommets y sont moins haut. Dès le franchissement de la cordillère, l’avion descend pour atterrir sur l’aéroport. Il n’y a quasiment plus de virage si ce n’est un léger changement de cap vers le sud.

On voit sur la photo prise d’avion (Copyright Karel) un des premiers sommets enneigés. Prise le 5 mars, on remarque que la neige est déjà sur des sommets non glaciaire. Il a neigé tôt cette année. Cela ne nous arrange pas car un certain de route et de balade ne seront plus faisable. L’Aconcagua en petite chaussure, ce n’est plus pour cette année. De toute manière, la saison était déjà trop avancée, et pour réaliser un sommet de cette hauteur, 6 962 mètres, un minimum acclimatation à l’altitude est nécessaire.

Le vol entre Santiago et Mendoza, effectué quelques heures plus tard, est un simple saut de puce de moins d’une heure qui est passé au sud de cette chaîne enneigée que l’on voit au loin sur la photo, au niveau d’un col sans neige ce jour là. Malheureusement, quelques heures suffisent après le levé du soleil pour rendre le paysage complètement nuageux et non photogénique !

Une rentrée de plus cette année;  Oufff ! il y a Carroufff ! Stylos, Crayons, Cahiers … Finalement, on retrouve son supermercado preferido à l’autre bout du monde ?
Les enfants sont rentrés en école bilingue (privée). Ici on fait de l’anglais à raison de 3h par jour depuis le CP. Donc le défi est grand, 2 langues à maîtriser en 6mois…car ce n’est pas les 2 à 4h d’anglais par semaine qui les ont mis au niveau de leur companeros. Mais voila, c’est une école en doble turno; L’argentine a tellement d’enfants à scolariser en public que  Sylène, (en primer ano de la segundaria) aurait eu classe de 14h à 19h et les garçons (septimo y sixto grado de la primaria) de 8h à 13h; Et puis, c’était la grève comme à chaque rentrée, il faut négocier les salaires de l’année en raison de l’inflation.

Nous avons donc échangé la « desesparate house wife introuvable dans la valise » contre un certain budget en pesos argentinos : acheter les livres, l’uniforme (idem qu’en public), et rajouter un droit d’entrée et des mensualités (la, c’est le privé). Mais tout se négocie…et l’on y va à pied de la maison, la cantine est « comida casera » ce qui change de la cuisine centralisée des collèges grenoblois. Pour le reste, tous les élèves ont leur ipod, ici aussi, on est un peu étrange, nous autres étrangers (extranjeros raros) qui arriveront à peine à décrocher notre cellular avant que sa boite vocale ne démarre. Mais ils accèdent ainsi à google translate en cours…ça facilite la communication !

A trois rues de chez nous commence le grand parc San Martín placé au bord de la ville de Mendoza, un peu comme le bois de Vincennes pour Paris. Le parc est immense, aussi grand que l’hypercentre avec un grand lac de forme allongé avec en son milieu, un club de sport. Il a été nommé en hommage au général argentin José de San Martín, qui fut l’un des héros des indépendances sud-américaines.

En arrière plan, on aperçoit les premiers plis des Andes avec la colline aux antennes, un classique dans toutes les citées modernes !

On remarque des nuages sur les sommets. En général, ceux-ci se couvrent tous les jours mais la ville elle-même reste avec un grand ciel bleu. Aujourd’hui est notre premier jour sans ciel bleu mais sans vraiment de pluie (trois gouttes éparses en ville).

On trouve de tout comme voiture à Mendoza, à la fois les anciennes de sa jeunesse, les encore plus ancienne et les mêmes que chez nous (enfin, il n’y a pas trop de Mercedes ni de BMW…). On voit aussi pas mal de grosses américaine et des pick-ups de toute marque et de tout âge.

Afin de commencer cette collection, quoi de mieux que ce monument français de l’automobile qu’est la 2CV conçu par Citroën. Légère, facile à réparer, il en reste en grande quantité dans les rues.

Nous avons même trouvé un modèle inconnu de nos mémoires ! Mais encore faut-il que cette merveille accepte de se faire photographiée…

Nous sommes pour quelques mois en Argentine dans la ville de Mendoza. La ville est inconnue du grand public mais le nom évoque plein de rêve aux enfants. En effet, Mendoza est un des personnages principaux de la série de dessin animé : Les mystérieuses citées d’or.

Mais ou est donc Mendoza en Argentine ? Comme presque tout le monde, en dehors de Buenos Aires, point de salut. Si, il y a bien Ushuaïa au sud…

Les plus simple est de comparer à ce que l’on connaît. Prenons Grenoble et Turin de chaque coté des Alpes. Du coté chilien, il y a Santiago, la capitale et de l’autre coté des Andes, coté argentin, se trouve Mendoza. Une route relie les deux villes mais c’est une autre histoire…

Et Mendoza elle même ? Elle vous accueille chaleureusement avec une jolie place carrée en centre ville ou quelques arcs en ciel vous souhaite la bienvenue.

Après un automne pluvieux, quoi de plus sympathique que de monter à Chamrousse le WE alors qu’il y fait grand beau et qu’il a neigé la veille.

Pas mal de personne ont sortis leur skis de randonnées ce jour là afin d’aller faire la Croix de Chamrousse. Sur le bas de la station, au dessus de 1800m, on sens tout de même qu’il n’y a pas grand chose et que s’il ne neige pas en plus grande quantité, à Noël, cela va être limite. Si une dameuse passe, elle touchera la terre à chaque changement de relief un peu fort.

Enfin, il fait beau et en bas, c’est pas ça. Comme quoi, le bonheur n’est pas dans le prés mais dans les alpages !

Contrairement aux prévisions initiales de Michel (mto38), il n’a pas neigé à base altitude (dès 300m) mais plutôt vers 1300, un peu en dessous du col de Porte. En y montant dans la matinée, je me suis fait froid aux pieds et j’ai croisé une moto sur le bas coté, heureusement sans gravité.

C’est vraiment un plaisir que de faire du vélo sur de la neige, surtout à la monté. La descente fut plus lente que la normale, surtout sur la partie haute jusqu’au niveau du téléski de Chamechaude.

La photo date du 18 octobre lors d’un lever de lune sur Belledonne. Il est clair que ce jour, c’est déjà bien plus blanc.

La déesse Aphrodite serait née là, sur le rocher au bout de cette plage. Enfin, c’est une des versions… De toute manière, qui croit encore aujourd’hui en ces histoires !

Toujours est-il que la plage est superble, surtout en octobre lorsque la vague touristique est sur la fin. Il ne fait ni trop chaud, ni trop froid, l’eau est bonne et le soleil pas trop haut sur l’horizon. Enfin, le sable et les galets vous tendent les bras sans avoir à éviter 36 serviettes avant de pouvoir vous y poser !

Le site est au sud-est sur l’île de Chypre. Si rouler à gauche vous stresse un peu, c’est un bon endroit pour faire une pause…

A noter que l’article est publié à la minute où a été prise la photo !

Encore une année avec des topinambours dans le jardin. Cette année, nous avons deux espèces différentes mais au niveau des fleurs, c’est bien pareils.

Celles-ci sont toujours magnifiques fin septembre début octobre, pendant environ une bonne quinzaine. Bien plus petites que les fleurs de tournesols, elles sont en nombre bien plus élevé, parfois des dizaines par pieds.

Le principal soucis avec les topinambours est que je les ai planté dans une terre meuble que j’ai ramené petit à petit de la déchèterie (chez nous, le compost est distribué gratuitement). Les tiges sont trop hautes et prennent trop le vent, l’ensemble a tendance à s’écraser au sol rapidement… Il faut donc les fixer via une corde sur un  poteau en acier afin de leur redonner leur élan vertical.

Titan est un livre de science fiction écrit par Stephan Baxter paru en 1997 (c’est important pour la suite). L’histoire se déroule alors dans un futur proche (2012) maintenant déjà passé. Mais écrire de la science fiction se déroulant dans un proche lointain est un exercice périlleux ici parfaitement réussi.

L’Amérique (USA) est en déclin et la chine s’est réveillée. Le futur président sera certainement un homme d’extrême droite aux idées combatives (1997, je vous l’ai dis !) dans lequel la NASA n’aura aucune place. En effet, on apprends qu’il y a un combat larvé depuis l’origine entre la NASA, agence civile spatiale et l’USAF, force armée aérienne aux états unis. A cela s’ajoute en 2005 l’accident de la navette Columbia (en réalité février 2003) préfigurant un futur démantèlement de la NASA…

Afin de sauver ce qui peux l’être, un projet fou se monte de récupérer tous les lanceurs encore disponible (navettes, ancien lanceur Saturn V…) et d’envoyer une mission en aller simple vers Titan, un satellite de Saturne, sur lequel on trouve de l’eau et des hydrocarbures… (le roman précède la mission Cassini-Huygens de 2004 qui collecta des quantités d’information sur cette lune).

Sur terre,  la situation politique s’envenime peu à peu… avant de partir en sucette !

Le roman est extrêmement bien documenté. Manifestement, l’auteur a ses entrées à la NASA et y connaît du monde. Je ne connais pas d’autres livres ayant des données aussi précise concernant les engins spatiaux. L’action se déroule dans une ambiance pessimiste, lourde. On se dis que le futur ne sera pas beau à vivre, même si on y est déjà ! Mais heureusement, l’auteur à trouvé une chute superbe et surprenante ouvrant des horizons philosophiques qui clos l’ensemble de manière magistrale. Bref, un livre d’une rare qualité.

C’est un bien grand mot pour une avenue. En effet, même si elle est au coeur d’Antananarivo, elle ne mène pas à grand chose et ressemble au final plus à une place centrale qu’à une artère.

A l’une de ses extrémités, il y a la gare ferroviaire ou nous ne sommes pas allé. En effet, plus on se rapproche de celle-ci, plus on est entourés de gamins mendiant et surtout volant. Leur technique est simple, se mettre à cinq voire six autour d’une personne et lui mettre toutes les casquettes sous le nez. Ainsi entourés et coincés, on ne voit plus les mains baladeuses qui se faufilent dans son sac ! Nous avons ainsi failli perdre notre appareil photo le premier jour…

De l’autre coté, l’avenue s’achève dans un immense marché à flanc de colline, les deux collines historiques de la ville se rejoignant au palais historique de la reine (l’un des palais car à l’origine, il y avait 12 reines dont 12 palais sur les 12 collines). On y monte via des escaliers animés par des petits commerces tant les jours de marchés que les autres.

Au milieu de la place se trouve l’hôtel de ville. Un bâtiment récent qui est somme toute modeste pour représenter la capitale du pays.

Après la neige de la semaine dernière, voici le retour de l’été indien. Comme tout le monde le sais, celui-ci se produit durant l’automne… Voila les critères donné par Wikipedia :

• Il se produit à l’automne, le plus souvent entre le début du mois d’octobre et le milieu du mois de novembre, après une période de gel ;
• La période de redoux doit durer au moins trois jours où la température sera d’au moins 5 °C au-dessus de la normale saisonnière ;
• Il n’y aura que peu ou pas de précipitations, c’est-à-dire moins de 5 mm de pluie dans une même journée. Les journées seront donc ensoleillés avec des matins brumeux et les nuits sont souvent froides.

On est vraiment exactement dedans !

L’image qui accompagne ce billet provient du site de M. Hyvrard qui tient depuis des années une station météorologique sur Meylan. Elle indique l’évolution journalière des températures ces six derniers jours de septembre.

En général, il neige au mois d’août sur l’Oisans et en septembre sur Belledonne. Jack-pot en ce jour de fin d’été (on n’est que le 17 septembre), il a neigé cette nuit et ce soir, celle-ci est encore là.

La Grande Lance de Domène est blanche ainsi que la face nord du Grand Pic en arrière plan mais aussi le sommet du Grand Colon qui culmine à un peu moins de 2400m.

Bref, ça rafraîchi l’atmosphère mais cela fait du bien de revoir le beau manteau blanc. On n’est pas montagnard pour rien !

Il y a un an, il y avait eu un rassemblement sympathique des musiciens amateur de danse traditionnel en Rhône-Alpes. La commune de Bourgoin-Jallieu est bien situé pour cela, un peu à mi chemin de tout le monde et nous sommes tous retrouvé au parc.

Pour une première, nous avions bien de la chance avec une météo clémente. Les accordéons (diatonique, cela va de soi), dont le soufflet est toujours en cartons en avaient bien profité. Tout le monde avait pris l’air…

Cette année, le WE se passe sous l’eau. C’est moins drôle mais cela permet aussi de faire quelques rangements et de rattraper un peu le retard accumulé en écrivant quelques billets !

Antanarivo (Tananarive) est la capitale de Madagascar. A vrai dire, c’est pas la plus jolie ville du pays, même si elle a son charme propre, mais on est quasiment obligé de passé par là si on arrive par avion.

La ville est relativement étendue avec de nombreuses rizières. Le passage d’un quartier à un autre doit donc contourner, en voiture, ces innombrables zones humides. En effet, à pied, il y a toujours moyen de couper par le milieu.

Au centre ville, sous la résidence présidentielle, il y a le lac Anosy en forme de coeur. Un monument au mort commémorant la première guerre mondiale trône au milieu sur la presqu’île. Au premier plan, nous avons le stade municipal de Mahamasima (22000 places) qui forme un immense rond point à lui tout seul.

Lors de l’été 2012, nous avions passé une petite semaine en Auvergne, au coeur des volcans qui ont poussé comme des champignons dans cette région.

Le Puy de Côme est un des fleurons de la chaîne des Puys. Pourquoi ? Il a deux cratères emboîtés ayant quasiment le même axe. Du coup, il est hyper photogénique, trop même car ainsi qu’on le sais, les roches volcaniques sont souvent fragiles. Trop de touristes tuaient petit à petit le volcan par le simple foulement de la marche. Depuis 2002, il est donc interdit de monter la haut afin de laisser au sol le temps de se régénérer. Il se visite donc avec les yeux, voire une paire de jumelles…

A son pied se trouve le parc de loisir Vulcania. Rien à voir avec l’explosion de cube du Futuroscope, le parc est parfaitement intégré dans le paysage et se laisse oublié.

Il y a deux ans déjà, nous étions en Asie centrale, au Kirghizistan, dans l’un des pays en stan qu’on ne sais pas trop placer sur la mappemonde si on n’a jamais été dans cette région du monde…

Le lac Song Kol (en réalité Son Koul en français) est légèrement au dessus de 3000 et il est entouré sur tout le tour de sommet voisinant les 4000m. Cela forme comme une immense cuvette habité seulement durant la période estivale par des éleveurs de mouton mais surtout de chevaux. En ce lieu, la transhumance a encore un sens et l’habitat est uniquement constitué de yourte Kirghize. Il faut dire qu’elles sont très très jolies, encore plus esthétique que la yourte mongole, en partie due aux extrémités des bois du toit courbés afin d’assurer une continuité géométrique entre ce toit et le bord latéral cylindrique.

L’hiver, personne n’habite la haut, il y fait bien trop froid. Le lac est gelé. D’ailleurs, même en août, la neige n’est pas loin…

J’avais lu début juin une bande dessinée de science-fiction dont les dessins me plaisait bien : Le complexe du chimpanzé. C’est en trois tomes et cela évoque les débuts de la conquête de l’espace depuis les premières missions lunaires jusqu’à une hypothétique mission vers Mars. Bref, un thème sympathique qui avait tout pour me plaire. Bien qu’ayant passé un moment agréable, il faut bien avouer que je n’ai pas tout compris à l’histoire… Du coup, à la fin, je suis resté sur ma faim !

Après quelques jours de pause, je m’était fait les trois premiers tomes de Commando Colonial. Les dessins sont plus simple et l’histoire commence en 42 pendant la seconde guerre mondiale. Des BD de guerre, ce n’est pas ce qui manque. Ici, nous allons suivre les pérégrinations de Maurice et d’Antoine, agent du BRCA lors des actions africaines. Première étape, Madagascar. Nos deux lascars, qui n’ont pas de réelle raison de se battre pour la France libre, l’un venant de l’île Maurice, l’autre de la Réunion, se retrouvent au coeur d’une guerre méconnue en métropole.

Au final, ces épisodes sont des plus sympathiques.

« Jusqu’au cœur du soleil » est le premier tome du « Cycle de l’Élévation » par l’américain David Brin. En effet, depuis quelques temps, après avoir épuisé mes auteurs de science fiction classique, je me suis dis qu’il était plus que temps de s’ouvrir vers d’autres horizons… Je vais donc faire cela dans un désordre temporel !

Je n’avais jamais lu de livre de cet auteur. Il avait participer à étoffer le cycle des fondations (Isaac Asimov) via un des romans qui tourne autour du personnage mythique d’Hari Seldon (Le triomphe de fondation). Autant j’aime bien ce cycle, autant je trouve que tous les derniers livres écris tombent dans le piège de l’écriture pour l’écriture…

« Jusqu’au cœur du soleil » est assez proche dans l’esprit de certains romans d’Arthur Clarke. L’histoire se déroule dans notre système solaire peu de temps après la rencontre avec la confédération galactique. Dans ce premier épisode du cycle, on se rends compte que les humains, qui ont atteint les étoiles par eux-mêmes, ne vont pas toujours avoir avec les galactiques que des rapports faciles…

Un élément important du cycle, l’Institut de la Bibliothèque, un institut regroupant tout le savoir faire accumulé depuis des millénaires par les galactiques, peux aussi s’avérer un élément colonial, un peu comme internet de nos jours ! Sauf que le roman a été écrit en 1980 avant même l’existence de celui-ci…

Aldébaran est une étoile située dans la constellation du Taureau à environ 65 années-lumière de la Terre. C’est aussi le titre d’une série de bande dessinée par Leo et édité par Dargaud.

Comme il y a quelques tomes (on attend d’ailleurs avec impatience les deux non encore parus à ce jour), c’est une très bonne lecture collective du dimanche soir. Les enfants adorent. Moi aussi ! Il faut dire que j’aime beaucoup l’univers de science fiction qu’il a crée dans cette série.

Dernier 14 juillet pour les équipes municipales en place. La ligne droite se profile à l’horizon et les gros travaux sont sensés se finir à l’automne… C’est raté pour les travaux du tramway sur Grenoble qui ne pourront être finit dans les temps.

Cette année, nous avons été voir les feux d’artifice de Meylan (le13 juillet) et de Grenoble (le 14). La dernière fois que j’avais vu celui de Grenoble, il était encore tiré sur les quais, c’est dire. C’est une impression mais je suis persuadé que celui de Meylan a été bien plus festif, plus long, plus de fusées que les autres années.

Peut-être que tout cela n’est qu’impression…

La Quadrature du Net est une association de défense des droits et libertés des citoyens sur Internet. La Quadrature défend :

• les droits de l’Homme dans la société numérique ;
• l’accès à un Internet libre et ouvert ;
• le partage de la culture et des connaissances.

Cela fait quelques temps que je les soutiens mais en ces temps d’affaire (PRISM…) qui n’étonnent personne sauf les journalistes, c’est plus important encore de le partager.

Petite fête médiévale en ce dimanche 30 juin 2013 à Riverie, petite commune située dans le sud des Monts du Lyonnais. Après quelques années calme, les habitants ont décidé de remettre au goût du jour une certaine époque… C’est peut être l’effet de la série « Le trône de fer« .

Sur la photo, on aperçoit une immense épée écossaise qui doit être une épée à deux mains (si mes souvenirs sont bons, je ne suis pas un spécialiste). On faisait tourner cette épée autour de soi afin d’éliminer toute concurrence. Il faut dire que vouloir manier une épée de cette longueur ne doit pas évident…

J’aime beaucoup les fleurs de coquelicot. Elle ne demande aucun entretien. Elles arrivent d’elles-mêmes sur un terrain de préférence pas trop bien entretenu et dont la terre a été un peu retourné. En gros, un terrain d’après chantier, ou le bord d’un champs !

Arrivé en juillet, elles sèchent d’un coup, il ne reste plus qu’à les couper et à attendre l’année d’après ! Dire que plein de gens passent leur WE à entretenir des fleurs alors que celles là font tout toutes seules !

Pour un non Grenoblois, ce titre ne dira certainement rien. Pour un cycliste, cela devrait être nettement plus évocateur. En effet, en ce dimanche de fête des pères, quoi de mieux que d’aller faire un petit tour en chartreuse ! On pars du bas, une heure après, on traverse Le Sappey, encore une demi heure et hop au col de Porte ! La descente vers Saint Hugues prends environ vingt minutes. Il faut alors absolument passer sur le petit plateau pour une dernière heure de montée jusqu’au col du Coq. C’est là où il faut en avoir sur la pédale… Cette montée versant nord n’est pas très longue, ni tortueuse, certaines portions sont tout simplement des murs qu’il faut franchir calmement. Enfin, je parle pour moi ! Une fois en haut, prendre quelques secondes pour admirer Belledonne, toujours très belle avec ses névés, avant de redescendre via le tunnel dans la vallée.

En ce jour, il faisait une chaleur torride ! Heureusement, j’avais pris à des fins de tests mon nouveau sac à dos avec gourde intégrée. Pas à dire, c’est bien pratique. Je ne sais pas dans quel état j’aurais terminé sans… Par contre, il me reste quelques réglages à faire afin de mieux savoir quand puiser !

La photo a été prise en 2012 non loin de Teruel en Espagne. En premier, je ne fais pas du vélo avec mon appareil photo. En second,  je transpire suffisamment pour n’avoir pas idée de faire autre chose que tourner les pédales !

Je suis persuadé que ce titre ne vous dis rien. Et pourtant, nous allons parlé d’une histoire concernant Nenana et Tanana !

Commençons par remonter au nord, très au nord, au delà du mont McKinley en Alaska. Nenana et Tanana sont deux rivières, Nenana se jette dans Tanana avant que celle-ci ne se jette à son tour dans le majestueux Yukon. Comme souvent sur notre terre, les Hommes se sont installés à la confluence des deux rivières et ont crée un village, ici un petit village répondant au doux nom de Nenana ! En effet, souvent en Alaska, le village à la confluence prends le nom de la plus petite des deux rivières, histoire d’imprimer une dernière fois son nom avant que celle-ci ne se perde…

Ce petit village est intéressant à plus d’un titre mais afin de ne pas faire trop long, venons en au coeur. Chaque année, en début d’hiver, un tripode est installé au milieu de la rivière Tanana face au village Nenana. Des billets de loterie sont en vente et il faut marquer dessus l’heure et la date exacte marquant le mouvement du tripole donc le dégel de la rivière. C’est la Nenana Ice Classic ! Cette année la glace n’a rompu que le 20 mai à 14h41 heure locale. C’est le record de durée depuis que le jeu existe (1917). Comme chaque année, une personne avait prédit cet événement !

Malheureusement, je n’ai aucune photo de Nenana bien que j’y suis passé une fois. En effet, il ne fait pas toujours aussi beau que sur les photos des sites internet sus-cités et ma traversée du village s’est faite sans pause sous une pluie battante ! La photo est donc prise légèrement au sud dans le magnifique parc national du Denali, mais cela est une autre histoire…

De la chaleur même à l’ombre, un orage du plus bel effet, voila c’est l’été sur Grenoble !

Il faut dire que cela fait un bout de temps que tout le monde l’attends un peu partout en Europe. Comme il reste pas mal de neige, on va avoir des écarts de température bien plus élevé que les autres années, ça va péter dans les chaumières… A vrai dire, avec un bon toit sur la tête, l’orage est une chose assez fantastique à suivre.

Enfin, il y en a un dans le jardin qui n’a pas grand chose à se mettre sur le crane ! Comme j’ai des petits soucis de pile avec mon appareil, la photo est de cet hiver. Vous l’aviez deviné j’en suis sur, en effet, ce ne sont pas des fleurs de printemps.

Cela faisait un bout de temps qu’il traînait dans notre jardin. Toujours propre sur lui et peureux comme pas deux ! Il vivait dans son tas de cailloux, tout seul, peinard… Il y a bien les chats du voisinage qui voulaient absolument lui faire la peau. Mais, ma brave dame, la vie n’est plus ce qu’elle était, ils ont été incapable de l’attraper depuis tout ce temps !

Et puis, il a commencé à manger toute la réserve de pain que je prévoyais pour les canards de Vizille. Mon sang ne fit qu’un tour et hop, dans la nasse, direction la forêt entre Corenc village et Le Sappey !

Il faut bien trouver un chute à cette belle histoire. Comme d’habitude, les gendarmes sont arrivés après la bataille. Ils marchent au pas et bien en rang, faut leur laisser cela !

Cela doit être l’un des ports les plus connu de France. En effet, il faisait partis du pack des photos de fond d’écran livré avec Windows XP de Microsoft.

Alors que l’image est connu, son emplacement souvent moins. La photo a été prise en début de printemps à Annecy. En effet, il s’agit du vieux port, au pied de la vielle ville et du fort qui domine sur les contreforts du Semnoz.

Si jamais vous passez par la Haute-Savoie, il ne faut pas hésiter à faire une pause car c’est une des plus jolie ville des Alpes française. Attention cependant aux touristes, rare sont les photos sans ! C’est justement le cas du fond d’écran livré avec Windows…