Après Dune

9782266183253Je me suis enfin décidé à lire la suite de Dune réalisé par son fils Brian Herbert et Kevin J. Anderson. La mode est au pavé et nous avons ici affaire à un beau paquet en deux tomes. On se dis chouette, on va être plongé dans ce fantastique univers encore un bout de temps. Surtout qu’avec l’âge, les auteurs ont souvent tendance a délayer leur propos. Le nombre de page des sagas augmente ou le temps ralenti à chaque épisode… Un bel exemple est le cycle de Fondation par Asimov. Alors que les premiers tomes vont à l’essentiel avec plein de personnage, le dernier, Terre et Fondation, traîne avec toujours le même héros.

Ici c’est pareil, déjà La Maison des Mères était un pavé. Là, on reprends les mêmes personnages, on ressuscite tous les anciens héros et on essaye de faire monter la sauce. Globalement, on est replongé dans l’ambiance du dernier épisode de Frank. Cependant, dès le début du tome 2, on nous ressort une vielle histoire corse qui doit bien avoir dans les quinze mille ans (et au passage, on en profite pour faire un clin d’oeil à Asimov) qui tue tout. Car au final, sans réelle histoire neuve, ça finit comme un pétard mouillé et on se dis : tout cela pour ça !

Bref, il y a bien mieux à lire en science fiction. Ce manque d’imagination est très décevant.

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Canal de bourgogne

OLYMPUS DIGITAL CAMERAEn général, nous essayons de faire une randonnée en vélo une fois l’an, soit aux vacances de printemps, soit l’été.

Cet été de l’an 2010, nous avons parcouru le canal de Bourgogne de Dijon à Tonnerre. Il y a clairement deux parties. La première remonte jusqu’à Pouilly en Auxois puis commence une longue descente vers Tonnerre. Au fur et à mesure de celle-ci, la vallée s’élargit et on sens petit à petit qu’on se rapproche de l’île de France.

Impossible de pédaler toute la journée sans faire quelques pauses, surtout si l’on rencontre comme sur la photo un engin d’entretien. Celui-ci est une espèce de moissonneuse à algues afin de réduire l’envahissement du canal.

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Courrir dans les grands espaces

20110731_125603_solineAvec tous ces articles parlant de l’asie centrale, j’avais envie de parler des grands espaces. Difficile de parler de ceux-ci sans montrer un seul cheval tellement ce compagnon est omniprésent sur les vallées.

Enfin, il y a vallée et vallée… La photo faite par ma nièce Soline a été prise à 3750m d’altitude sur l’Atchik Tash, le camp de base du Pic Lénine. Ce jour d’août 2011, il y avait une grande fête du cheval Kirghiz organisé par une française, Jacqueline Ripart, et des courses ont eu lieu. L’une d’elle consistait à faire deux tours de 7 km environ sur le terrain bosselé et légèrement en pente du camps de base. A l’arrivée, les chevaux sont tous au bord de l’épuisement total ! Heureusement, des arbitres peuvent lors du premier passage arrêter un candidat s’ils considèrent que le cheval ne peux pas finir la course…

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Magnolia

OLYMPUS DIGITAL CAMERA OLYMPUS DIGITAL CAMERAQu’elles sont belles les fleurs de magnolia. Ces derniers temps, j’ai pas mal mitraillé les fleurs, notamment celles de ma voisine. Il faut dire que la fleur de magnolia ne dure pas longtemps et qu’il est vraiment dommage de les louper. A gauche, le bourgeon et à droite l’arbre en fleur une semaine après. Encore une semaine et il n’y a plus rien… C’est la raison pour laquelle je n’ai positionner que deux photographies !

A ne pas confondre avec le film Magnolia sortie en salle en 1999 qui est cependant une pure merveille que je conseille à tous sauf aux petits ! En effet, il y a une certaine forme de violence, non sanguinaire, mais dont je me souviens encore bien treize ans après.

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Puzzle géant

OLYMPUS DIGITAL CAMERAEffet de miroir avec un mélange de neuf et de vieux du plus bel effet. Cela donne envie de découper selon les lignes et de mélanger les pièces…

La photo a été prise par Dominique non loin d’une gare, dans la plus jolie ville des Alpes française à mon sens… Non, je ne vous dirais pas laquelle, c’est le petit jeu du jour que de la trouver ! J’élimine juste une piste, ce n’est pas Grenoble… mais qui aurait pu imaginer que Grenoble puisse être la plus jolie ville des Alpes !

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Ou est-il ?

OLYMPUS DIGITAL CAMERALa tradition des cloches qui déposent des oeufs est encore bien vivace dans nos contrées. Il faut dire que cela amuse beaucoup les enfants de les chercher. C’est aussi un jeu de trouver des bonnes cachettes…

Le plus dur est de ne pas trop en perdre. Après le rassemblement final et le grand partage, il faut dénicher collectivement les oeufs non encore trouvés. En règle général, on en perds toujours un peu. Cette année, malgré des cachettes plus sophistiquées (les enfants grandissent), aucune perte n’est à déployer au compteur. Bravo Dominique pour ta bonne mémoire !

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De la boucherie

OLYMPUS DIGITAL CAMERAOn n’est pas un premier pour rien ! Chaque année, nous nous amusons à coller des petits poissons ici ou là. Cette année, changement de navire avec l’affrètement d’un baleinier. Oui je sais, c’est interdit par les conventions internationales, ce qui est une bonne chose, mais pas pour nous !

En effet, il y en a marre des vaches et du moutons, on veut de la baleine !

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Le retour des fleurs

OLYMPUS DIGITAL CAMERAMalgré le mauvais temps, ou plutôt le temps assez humide de cet hiver, les nuages qui nous cachent régulièrement le soleil, le printemps a fait son retour et les fleurs commencent à être de retour. Elles sont fidèles au poste et cela fait bien plaisir de les retrouver d’année en année !

Je ne connais pas le nom de celle-ci, à vrai dire mes connaissances sont très limitées sur les noms des espèces végétales. Il est nettement préférable d’écouter Alain Baraton nous raconter des histoires naturelles sur France-Inter le samedi et le dimanche matin que de venir ici lire mon baratin !OLYMPUS DIGITAL CAMERA

Prise en photo le week-end dernier, donc avant le printemps officiel, elles ont, je vous rassure, bien résisté à la dernière chute de neige en plaine (il faut dire qu’elles sont bien abritées). Celle-ci, avec sa neige bien lourde, a fait quelques dégâts du coté des branches un peu faible. Ainsi va la nature…

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Quel est ce petit phare ?

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On pourrait le croire petit, on pourrait le croire breton… Et bien pas du tout, cela aurait été trop facile ! C’est un grand phare en pierre de 57m de haut qui a plus de 150 ans maintenant. Il est situé au bout de l’île de Ré et a pour joli nom le phare des baleines (wikipedia). Si vous passez dans le coin, il faut absolument monter en haut, même si cela semble toujours un peu chère au premier abord (il faut bien les entretenir nos beaux phares). La vue y est magnifique et l’escalier intérieur en colimaçon est une merveille. J’aime beaucoup ces escaliers qui semblent ne tenir sur rien !

La photo a été prise à Pâques 2009 depuis le bord de mer au nord du phare. Seule déception ce jour là, aucune baleine à l’horizon ne s’est manifestée…

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Bride Stories

Bride-StoriesDrôle de titre pour un manga japonais dont l’aventure se passe en Asie Centrale. En pratique, Bride Stories signifiant « histoires de mariée » colle très bien à l’histoire.

En effet, nous allons suivre le parcours d’un jeune anthropologue anglais Henry Smith, déjà docteur ou en cours de thèse, dans son parcours. Son responsable à Ankara lui demande de rentrer, commence alors un très long voyage retour passant par la maintenant morte mer d’Aral…

Les actuels pays d’asie centrale ne sont alors pas encore sous la tutelle Russe, mais ceux-ci ne sont pas loin. Pour Henry, c’est une source de soucis car son statut de chercheur peux facilement être pris pour celui d’un espion Anglais… On ne sens pas non plus la population enchantée par l’arrivée prochaine des Russes !

On découvre des personnages magnifiques : Amir, Karluk, Pariya, Talas… Les dessins sont d’une très grande qualité et l’auteur nous fait partager la vie de tous les jours dans les villages ou auprès des nomades.

Les enfants ont une fois de plus bien aimé la lecture collective de ce manga, je devrais dire début de manga car nous sommes manifestement loin de la fin de cette série. Et c’est une bonne nouvelle pour nos futurs rêves.

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Transformateur Russe

OLYMPUS DIGITAL CAMERAAvec tous ses articles concernant l’électricité, quelques images sympathiques sont revenues à moi. Je me souviens par exemple des transformateurs au Kirghizistan. Il y en a un certain nombre (pour ne pas dire tous) qui datent de l’époque Soviétique et défient toutes les normes de sécurité occidentale ! En effet, les transformateurs sont souvent proche du sol et les différents fils accessibles sans soucis. Les deux que nous voyons sur les photographies semblent presque bien, je vais essayer d’en retrouver des plus représentatifs dans mes archives !

Les deux photographies ont été prises au petit matin lors de l’été 2011 dans le petit village de Sary Moghol situé dans la vallée de l’Alaï au sud du pays.

OLYMPUS DIGITAL CAMERASur la première photo, on aperçoit au sud le pic Lénine, l’un des 7000m les plus faciles de la planète. Facile ne voulant pas dire ici trivial… de nombreuses personnes n’en sont jamais revenues.

La seconde photo montre une vue du village et de son arrière plan vers le nord-ouest. Bien que la chaîne montagneuse paraisse moins enneigé car moins haute, il y a tout aussi peu de route qui la traverse. A vrai dire, la vallée est reliée au reste du pays par une seule route franchissant deux grands cols.

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La fée électrique

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Ce livre fait un tour d’horizons de l’histoire de l’électricité et d’un panel d’utilisation. Chaque chapitre comprends une partie historique très complète au regard de la taille du livre lui-même. Le premier chapitre est consacré à la foudre et nous content d’apprendre en page 19 l’existence de paratonnerres radioactifs et le fait qu’il en reste des dizaines de milliers en France ! Le livre se conclue sur des applications de l’électricité de nos jours (voitures, éclairages) puis sur le rêve de la supraconductivité.. Je ne détaillerai pas l’ensemble du sommaire mais le tout est franchement intéressant, bien illustré, bien écrit et rapide à lire.

Sur les 271 pages que compte le livre, seules 4 pages sont consacrés au nucléaire dont pas une seule illustration. C’est à mon sens le seul point réellement négatif du livre. A comparer au 10 pages concernant la houille blanche, aux 12 pages sur l’éolien, aux 4 pages sur l’hydrolien et aux 3 pages sur l’énergie solaire… On sent que le nucléaire n’est plus dans l’air du temps alors que l’éolien et les énergies renouvelable font l’objet de nombreux débat dont la question du stockage qui est ici traitée ainsi que celle du transport longue distance en courant continu !

Concernant l’hydrolien, les informations sont à jour et précise. Le projet HARVEST dans lequel est impliqué mon laboratoire de recherche (LEGI) est cité en page 158, via notamment la machine expérimentale installé à Pont-de-Claix sur le canal EDF. Pour un livre grand public, je suis impressionné ! Cependant, faut pas rêver, ce ne sont pas les hydrolienne au fil de l’eau qui vont faire tourner nos machines à laver…

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Un petit tour en mer

OLYMPUS DIGITAL CAMERACette histoire de voile dans les montagnes, cela ne vous donne pas envie d’aller naviguer pour de vrai ?

Alors j’ai ressorti de cet été une photo du Biche, c’est le dernier thonier à voile groisillon, construit en 1934, qui a été sauvé par l’association des amis de la Biche. Il est d’ailleurs possible l’été de naviguer dessus et ainsi, de faire le tour de l’île… Il y a de forte chance que cela vous fasse une belle jambe mais, sur la photo ici présente, ma tante Thérèse est sur le pont ! Cependant, à cette distance, je ne sais où…

Les vieux gréements sont en général lourds et peux rapides mais quel plaisir que de naviguer dessus. L’idéal est d’en avoir deux presque identiques et de se tirer la bourre à essayer de les faire avancer le plus vite possible.

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De la voile dans les hauteurs

OLYMPUS DIGITAL CAMERALe Vendée Globe 2012/2013 touche à sa fin et les deux derniers concurrents étaient les plus sympathiques. Je ne pense pas être le seul à le penser… A vrai dire, ils avaient tous l’air sympa mais certains plus que d’autres ! Il faut dire qu’ils ne maîtrisent pas tous avec les mêmes qualités les outils modernes de communication.

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Et comme trop de com tue la com, il n’est pas forcément facile de savoir ou mettre le curseur…

Bref, ce WE alors que je suivais l’arrivée de Tanguy par internet interposé, mon regard s’est porté sur une jolie voile située au col de Porte (Chartreuse) ainsi qu’un jolie coeur sur les contrefort du Grand Colon dans Belledonne. Je me suis dis qu’il fallait partager tout cela. En effet, quoi de mieux qu’un coeur à cet endroit et je ne sais pas pour vous mais je trouve ce foc parfait pour les mers du grand sud.

 

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Première à Chamechaude

OLYMPUS DIGITAL CAMERAPas forcément facile de trouver quelque chose de nouveau à faire sur Chamechaude, notamment au mois de février. En effet, le sommet est magnifique et tout prêt de Grenoble, alors, on l’a fait en général de long en large…

Cependant samedi, alors que les conditions de neige étaient magnifique après une semaine neigeuse, je suis monté jusqu’à la croix avec mes skis de télémark. A vrai dire, pas tout à fait, jusqu’au câble final devrait être plus juste, les derniers 50m se faisant à pied !

Comme je n’ai pas eu besoin ni des couteaux, ni des crampons, la montée n’a pas été technique. Ce n’est pas plus mal car soit une fixation tenait mal car soit pas assez serrée et la chaussure sortait, soit trop serrée et j’avais du mal à plier le genoux (juste celui qui a toujours mal). Bref, mes réglages ne sont pas encore au point pour la montée.

La descente s’est faite en directe à coté des paravalanches dans cette magnifique grande pente blanche. Sentant encore dans mes cuisses le footing de mercredi, ce ne fut pas cependant du grand télémark… Mais enfin, l’important est de s’être fait plaisir et d’avoir pleinement profité du merveilleux paysage ce samedi.

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Au dieu Eole

OLYMPUS DIGITAL CAMERADrôle de titre pour un non croyant… mais n’ayant pas d’idée lumineuse, j’ai décidé de mouliner un coup afin d’en sortir un !

Y a pas à dire, toute blanche, moi je les trouve bien belles ces éoliennes. Celle-ci sont espagnoles, situés au col de Barracas, à environ 60km au nord-ouest de Valence.

Actuellement, la recherche et l’industrie travaillent à une meilleure intégration de ces parcs dans le réseau électrique. C’est un vrai challenge passionnant qui nous dirige à terme vers un réseau distribué moins centralisé.

La photo fût prise à Pâques 2012 sur la « Via verde », une ancienne voie ferrée transformée en piste cyclable. En effet, quoi de mieux que le vélo comme moyen de transport pour bien prendre en  mesure la taille des éoliennes. En voiture, on va trop vite et à pied, c’est franchement long de traverser un parc de bout en bout !

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L’appel de la forêt

Alaska1998_A_012Suite à ma dernière lecture peu passionnante ainsi qu’un billet ici même sur le pétrole, un certain appel régulier du grand nord est revenu en moi !

J’ai donc relu, là aussi après des années, « L’appel de la forêt » de Jack London. C’est un petit livre qui se dévore sur l’histoire d’un chien, Buck, entraîné malgré lui dans la grande aventure du Klondike. Évidement, je ne vais pas raconter plus longuement l’histoire car Jack London n’a pas son pareil pour parler du grand nord de cette époque…

C’est quand même plus facile à lire sous sa couette que de le vivre en vrai ! La photo servant de support a été prise en 1998 lors d’une randonnée en autonomie (sans guide) et en pleine nature au bord de la Chena Hot Springs Road. En cas de brouillard, si on perds le nord, il faut faire vraiment attention à ne pas prendre la mauvaise vallée car il n’y a qu’une seule route dans le coin et rien d’autre sur des miles et des miles… Ainsi, on se sent tout petit face à ces chercheurs d’or qui passaient l’hiver dans ces contrées avec pas grand chose comme bagage !

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La capitaine Nilia

ebook_gratuit_capitaine_niliaA Noël, nous avons remis en route notre livre électronique, Sylène ayant besoin de lire 20.000 lieues sous les mers. Du coup, les enfants se sont un peu chamaillés à lire dessus…

Puis la rentrée aidant, le livre est retombé dans l’oubli alors je me suis refait un livre lu il y a très très longtemps : « La capitaine Nilia » de Paul d’Ivoi. Il fait parti du cycle des voyages excentriques dont c’est le tome 6. Comme il s’agit d’un livre tombé dans le domaine public, on le trouve assez facilement sur internet (par exemple sur livres pour tous ou sur ebooksgratuits).

Pour être honnête, c’est quand même moins bon que Jules Vernes ! Les Français sont les bons et les Anglais les méchants… Le scénario qui se passe en Egypte est assez basique mais je ne me souvenait plus que c’était à ce point là. Avant de le conseiller à mes enfants, j’en lirais un autre car celui-ci m’a quand même paru d’un autre âge.

Enfin, quand on voit la position actuelle du gouvernement de la Grande-Bretagne concernant l’Europe, c’est consternant. A-t-on vraiment progresser en un siècle ?

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Noirs pipelines

Alaska1998_A_038Sur le site du monde, il y a un reportage photo poignant ayant pour titre : « Au Nigeria, l’autre ruée vers l’or noir ». Les 12 images sont à la fois superbes et dramatiques !
Manipuler et distiller l’or noir sans protection, c’est complètement fou de nos jours… tant pour l’Homme que pour la Nature !

On y apprends que 20% de la production du Niger sont détournés ! Je me souviens avoir suivis pendant des centaines de kilomètres le pipeline reliant Prudhoe Bay à Valdez en Alaska via la piste latérale (photo prise en 1998 au nord de Fort Yukon). Au vu des contrôles permanents de l’infrastructure sur cette piste du grand nord, j’ai des doutes qu’il soit possible d’y détourner le moindre litre du fioul… Comme quoi, deux poids deux mesures certainement…

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Courir sous la neige

OLYMPUS DIGITAL CAMERADepuis ma reprise en septembre de la course à pied, j’essaye de tenir le rythme d’au moins une course par semaine. Ce n’est pas toujours possible, selon les conditions météorologiques ou les contraintes de l’agenda (je cours en général lors de la pause méridienne).

En ce début janvier, il fait bien moins froid que l’année passée, mais bien plus humide. Nous avons donc régulièrement de la neige en plaine. Courir sur un petit tapis blanc (parfois verglacé mais le plus souvent déneigé) avec des arbres tout blanc est merveilleux.

En cadeau bonus, la douche est bien chaude au retour. Il faut dire que vu la foule sur la digue de l’Isère, il me reste toujours de l’eau chaude dans le ballon collectif !

Sur la photo, nous avons un noisetier. Celui-ci se trouve pas loin de chez moi car lorsque je cours, je suis sans appareil photo…

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Confiture de litchis

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Le litchi est vraiment un fruit formidable, un brin exotique dans sa coquille. Il est bon dans nos contrés l’hiver et ces rayons de soleil sur la table font du bien à chaque repas !

Mais que faire si votre marchand de fruit et légumes vous en vends une caisse pour un prix plus que raisonnable ?

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Nous avons décidé d’en transformer une partie en confiture. Cela ne fera pas 36 pots, juste 2 au final. Il faut dire que ce n’est pas bien compliqué à faire, juste un peu long pour un volume au final assez faible dans la gamelle !

Une fois les noyaux enlevés et une découpe des fruits aux ciseaux, je fais une première cuisson. Je mets alors le sucre et attends 24h car rien ne sers de courir… J’ai une tendance à toujours laisser 24h entre deux cuissons de confiture, je ne sais pas si cela sers à quelques choses, mais je me dis que cela fait du bien ! Bref, un petit coup de mixer mais pas trop, seconde cuisson et hop en pot pendant que c’est brûlant. Bien penser à fermer le pot rapidement et le mettre à l’envers afin d’assurer le plus possible son étanchéité…

OLYMPUS DIGITAL CAMERADifficile alors de résister et nous avons craqué et ouvert le premier pot au bout de quelques jours seulement. C’est tout simple excellent !

Je n’ai regardé aucune recette, ni mesuré aucun volume ni poids, c’est plus amusant ainsi. Tout a été fait au pif avec seulement des litchis et du sucre. Après une petite recherche sur le net pour écrire ce billet, je me suis aperçu que beaucoup de personne rajoute de l’orange. C’est juste très bon nature, 100% litchis !

 

 

 

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L’imposture

Imposture

S’il y a bien une imposture, c’est bien ce bouquin publié en 2008 ayant pour sujet les éoliennes. On se demande comment un ancien président de la république a pu cautionner ce pamphlet ? En effet, j’étais parti en me disant que j’allais apprendre quelque chose sur ces bestioles blanches mais en pratique, il n’y a rien, ou si peu et c’est mal écrit avec de nombreuses redites et peu argumenté ! Les 153 pages auraient pu être divisées par deux pour le même message et gagner ainsi quelques arbres.

Commençons par la fin à la page 152, je note en conclusion la phrase : « Le plus insupportable est que l’éolien constitue réellement un détournement financier au détriment de solutions réellement efficaces, comme les technologies d’économie d’énergie et d’autres énergies renouvelables nettement plus efficientes. » Cependant il aurait été bien de donner des exemples concrets d’énergies renouvelables plus efficientes car je n’en ai pas lu… Le livre est ainsi construit, des belles phrases qui s’enchaînent mais souvent sans argumentation scientifique étayée.

Revenons au début. Le premier chapitre évoque les techniques des vendeurs d’éolienne, technique de vente bien connues et assez insupportable au final proche des vendeurs de tapis ! Il est cependant amusant de voir que dès le second chapitre, l’auteur utilise la même technique de communication en parlant de son pays, d’écologie, du passé avec les haies autour des champs, les rivières libres… Une certaine nostalgie du passé qui dramatise la situation actuelle et met la pression sur l’éolien alors que tout ce qu’il évoque n’a absolument aucun rapport car est dû à la révolution agricole d’après guerre, notamment le remembrement !

Rentrons dans le vif du sujet. Une éolienne à terre à un rendement de 25% en moyenne, ce qui veut dire pour simplifier que sur une année, elle ne fonctionne qu’un jour sur quatre (jour et nuit compris). Nulle part, l’auteur ne dis que l’éolien en mer à un rendement de 50% (un jour sur deux) donc double ! Par ailleurs, il fait des calculs de nombre de mat à planter afin d’atteindre des objectifs de puissance installée mais ces calculs sont presques toujours sur les cas défavorables qui sont généralisés. Exemple, son calcul du nombre de mat est basé sur des éoliennes à 2MW or de nos jours, la réglementation limite les éoliennes à terre à 5MW (il en existe déjà) et en mer, il y a du 7, voire 8 et bientôt du 10MW ! Le nombre de piquet global est ainsi facilement divisé par 4 !

Sur l’éolien en mer, on se demande vraiment si l’auteur s’y connaît car les parcs éoliens gênerait la pêche ! En pratique, il est en effet interdit de pêcher dans les parcs, ce sont donc des réserves, comme des parcs naturels, ou les poissons et les crustacés sont libres et peuvent se reproduire à volonté. Au bout de quelques années, la pêche est bien meilleure autour des parcs ! L’éolien en mer pourrait donc être vue donc comme la protection ultime pour la bio-diversité, avec l’aval des pêcheurs… Amusant.

Sur la question du démantèlement, l’auteur annonce lui-même un chiffre très élevé (il joue encore sur la peur)… La grosse question semble celle des fondations ! Quel est le véritable problème de laisser le bloc de béton dans le sol recouvert de 2 mètre de terre ? A ma connaissance, le béton n’est pas polluant pour les nappes phréatiques ? Sur cette question du démantèlement, il serait vraiment intéressant d’avoir l’avis de l’auteur sur le démantèlement des barrages et des centrales nucléaires ? Pas un mot la dessus ! Il faut dire que pas une seule centrale n’a encore été démantelée (sauf le réacteur d’essai du CEA de Grenoble afin de mettre au point la procédure), Brennilis en Bretagne étant au point mort… Pour ce qui concerne les barrages, que faire des tonnes de bentonite (le plus souvent) injecté dans les montagnes en volume bien plus grand que la partie visible du barrage… La moindre des choses lorsqu’on critique une technologie est de faire de l’anthropologie symétrique et je lui conseille les livres de Bruno Latour sur la question. Enfin, que dire des lotissements et des maisons secondaires, en béton généralement, qui pollue le sol et le paysage des campagnes… Encore un chapitre raté !

Il essaye alors vainement de se rattraper sur le coût en prenant l’exemple de la centrale de Flamanville qui couterait deux fois moins chère que l’éolien selon ses dires. Le livre est écrit en 2008 mais déjà à cette époque, on savait que dans le nucléaire, il y a chiffre et chiffre ! Alors évaluée à 4 milliards, la seule construction de la centrale de Flamanville est aujourd’hui estimée à plus de 8 milliards ! Le chapitre sur les coûts n’a dès lors plus d’intérêt sauf à s’amuser à lire de la mauvaise foi… Toujours pour rafraîchir la mémoire de l’auteur, je l’invite à chercher combien le contribuable à laisser dans l’expérience aberrante du surgénérateur de Creys-Malville (car il faut être fou pour utiliser du sodium aussi dangereux sur du matériel aussi sensible).

Coté écologie, pas un mot sur la consommation d’eau d’une centrale, du réchauffement induit des rivières, ni de la pollution visuelle des tours de refroidissement visible à des kilomètres (moi, j’avoue bien les aimer) en plus de tout le reste. On a le droit au discours bien rodé sur le bruit des pales des éoliennes et les oiseaux déchiquetés sans chiffre… J’aurais par exemple aimé un exemple comparatif entre un parc éolien et le site de la Hague, combien d’oiseaux l’aviation tue par an ? L’auteur ayant sa résidence (secondaire) non loin de Civaux (pas trop trop près quand même) on aurait aimé connaître l’avis des habitants de ce village ? Si une éolienne casse, ainsi que l’auteur envisage un instant le scénario, il peut y avoir effectivement quelques dégâts. Mais si une centrale casse… Mais ce n’est pas dans son scénario ! Chapitre suivant.

Tout n’est pas nul. Les éoliennes posent un vrai problème qui est évoqué mais franchement mal et de manière redondante. Comme dis plus haut, l’éolienne fonctionne 1 jour sur 4 à terre et 1 jour sur 2 en mer. Cela pose le problème du stockage. Que faire lorsqu’il n’y a pas de vent ? Plus le parc est grand et étendus, moins il y a de trous en moyenne mais que faire ? L’auteur parle beaucoup d’aléatoire, mais avec la qualité des modèles de météo, je suis persuadé que l’énergie est prévisible à 12 voire à 24h très largement ! Pour compenser, il y a l’hydraulique, le pétrole, le gaz ou le charbon… comme pour le nucléaire ! Oui, l’auteur a carrément oublié de dire que la puissance d’une centrale était peu modulable et donc elles tournent la nuit à faire remonter de l’eau dans des barrages (stockage) ou éclairer nos villes à 3h du matin… Il manque clairement de l’anthropologie symétrique dans ce chapitre. Le sujet à la mode est la réduction de la consommation d’énergie (je suis d’accord et d’ailleurs, pourquoi alors un nouvel aéroport à Nantes mais je sors ici du sujet). Si nous arrivons à diviser notre consommation par deux, l’hydraulique a donc un pourcentage double dans la production globale de celui d’aujourd’hui et pourrait peut être palier plus sûrement certaine faiblesse d’éole ? Les usines grosses consommatrices d’électricité pourraient-elles s’adapter en fonction du vent ? C’est toute l’organisation de notre société qui est peut être à revoir… afin de retrouver des rythmes de vie peut être plus liés à notre environnement.

Le stockage de l’énergie est le véritable problème de l’énergie, toute source confondue. Il n’y a pas de bonne solution à ce jour et le livre devrait clairement en parler. Il y a déjà le stockage hydraulique évoqué ci-dessus, mais principalement placé en zone montagneuse et très gros consommateur d’eau. Il y a des pistes de stockage d’hydrogène, de stockage de chaleur dans du gravier, etc. Un véritable débat et des très gros efforts de recherche doivent être entrepris sur ce sujet… qui concerne aussi le solaire dont l’auteur parle un peu mais jamais à ce propos ! Cette problématique du stockage devrait être centrale dans ces livres sur l’énergie.

Sur les autres énergie dont le solaire, l’auteur semble bien plus gentils ! Alors que j’ai des échos très relatifs sur le photo-voltaïque (bilan écologique sur l’ensemble de la vie du produit), l’auteur ne semble guère préoccupé par cela. Par ailleurs, ne fonctionnant pas la nuit, le rendement est forcément inférieur à 50%, surtout l’hiver… Ce n’est donc pas la panacée et cela semble plutôt complémentaire que concurrent avec l’éolien. L’auteur semble être un franc partisan des prairies du Sénépy près de Grenoble qu’il faudrait préserver des éoliennes. On parle de temps en temps de centrale photo-voltaïque sur La Mure. Il faut savoir que le Sénépy surplombe le lac du Monteynard, le plus venté de France ! Par ailleurs, ce n’est pas un sommet majestueux comme le Puy de Dôme… C’est une bête bosse (pardon à mes amis qui habitent dessus) percée comme un gruyère par d’anciennes mines de charbon et coincé entre le massif du Vercors et celui des Ecrins.

Dans un geste de désespoir, l’auteur évoque alors la biomasse, truc tarte à la crême qui va clairement faire fonctionner nos ampoule d’ici 10 ans ! Toujours pareil, le truc miracle mais que du flou en pratique. La biomasse est une piste comme d’autres mais cela reste aujourd’hui une piste.

Le problème de l’énergie est qu’à l’heure actuelle, il n’y a pas de bonne solution. L’auteur fait croire qu’il y en a mais c’est faux. On a vite compris qu’il était pro-nucléaire, qu’il ne voulait pas de piquet sur ses lieux de vacances mais quid des déchets sur 1000 ans ? Quelle est la durée de vie minimum des déchets actuellement à la Hague  ? Qui est capable d’assurer la stabilité de notre système politique sur une aussi longue période ? On ne sais même pas si nous allons nous en sortir sans trop de guerre civile avec la fin du pétrole…

Globalement, c’est un livre très très mal écrit, peu intéressant et qui annonce beaucoup de chiffres faux. Il y a quelques points justes et intéressant mais ils sont mal traités. Le livre ressasse sans cesse le nombre de piquet d’éolienne en France. Que les vendeurs d’éolienne soient souvent malhonnêtes, forcent les mairies, on veut bien le croire (on aimerait que le débat sur le nucléaire soit, lui-aussi, plus démocratique). Mais que ces sujets soient traités et développés dans un chapitre bien écrit mais non tout du long. De nombreux points ne sont pas évoqués. Par exemple le problème de la Bretagne qui géographiquement est une zone isolée et qui n’avait hier que l’usine de la Rance et quelques centrales thermiques, le reste étant importé par des lignes à hautes tensions. Des parcs éoliens permettent petit à petit une plus grande autonomie de cette région et soulagent les lignes hautes tensions qui étaient arrivées à saturation ! Qu’est-ce que l’auteur propose pour la Bretagne ?

Il y aurait encore bien des choses à dire sur le sujet mais ce billet commence à être bien long… A chacun le droit et le devoir de se faire sa propre opinion. Je vous déconseille cependant l’achat du livre. Personnellement, je suis passé par un emprunt à la bibliothèque municipale…

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2013, la porte est ouverte

OLYMPUS DIGITAL CAMERADans le temps, la nouvelle année avait lieu de 1 mars, ce qui était bien plus futé. On en a des traces claires dans les noms des mois de notre calendrier. Mais c’est ainsi, depuis ce matin, nos ordinateurs ont basculé sur 2013 alors, moi aussi, je fais le grand saut !

Quoi de neuf pour 2013 ? Je n’en sais rien et je ne vais pas m’avancer à faire le moindre pronostic. L’important est de croquer à pleines dents le temps présent. Le passé enrichi mon présent, le présent me prépare un avenir. A moi de le rendre radieux…

Ce jour est donc comme une porte avec une feuille blanche en arrière plan. Je compte sur tous mes amis pour y écrire une belle histoire et je souhaite à tous que cette page blanche vous inspire les plus grands sentiments.

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2012, un instant de contemplation

OLYMPUS DIGITAL CAMERAArgh… 2012, c’était bien !

J’ai pas du tout envie de faire un quelconque bilan, je devrais passer sous silence bien trop de point que je n’ai point envie de rendre public sur le web. Mais bon, c’était une bonne année avec plein de très bons moments, des émotions, du bonheur, du partage…

En ce dernier jour, quoi de mieux que de se reposer au pied d’un arbre à voir le temps passer, le jour et la nuit, la pluie et le soleil. Notre agitation de tous les jours est parfois futile face à la beauté de ce qui nous entoure.

Photo prise le dimanche 23 décembre en fin d’après midi dans l’un des parcs de Meylan. Merci aux anonymes sur le banc qui étaient au bon endroit à la bonne heure… Petit jeu de piste pour 2013, facile pour les habitants de la commune, retrouver l’emplacement de ce bel arbre.

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Le retour d’une sacré mamie

sacree-mamie-11-delcourtFin septembre, je vous avais parlé du manga : « une sacré mamie » . Depuis, je lui ai fait pas mal de publicité à droite et à gauche…

Par ailleurs, tous les dimanches soirs, voire plus, je lis une bande dessinée à mes trois stroumpfs. C’est un temps sympathique où nous sommes tous les quatre dans le même lit ! Ainsi, j’ai lu un certain nombre de bande dessinée pour enfant comme « L’élève Ducobu »… Je dois dire que leurs BD ne sont pas toujours toutes top top à mon goût mais bon, ce sont eux qui choisissent !

Ainsi j’ai débuté à lire à haute voix « une sacré mamie » à raison d’un demi tome par soirée (cela prends déjà un certain temps). Avec 11 tomes, ça fait un paquet de semaine que la série nous tiens en haleine et nous l’avons finit le 25 au soir afin de conclure la fête de Noël en beauté. C’est comme un grand vide qui s’installe maintenant… Nous avions même pris un certain rythme avec la bibliothèque afin d’avoir toujours un tome d’avance mais guère plus afin de laisser à d’autres personnes la joie de pouvoir le lire.

Au hasard des passages, il y a quelques perles. Je n’ai pas pour habitude de lire avec un crayon et de tout noter. Je préfère me souvenir que le livre est fantastique et le relire… Voici juste une petite phrase extraite de ‘épisode 88 du dernier tome que j’ai cependant noté : « La vraie gentillesse s’accomplit sans que l’autre s’en aperçoive ».

Sur ces belles paroles, le manga est édité chez Delcourt (ISBN du tome 11 : 978-2-7560-2484-4) et se lit heureusement de droite à gauche comme l’original.

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Des fraises à Noël

OLYMPUS DIGITAL CAMERAEn général, les fraises, c’est au début de l’été. Chez nous aussi mais on en a jusqu’à Noël !

Je sens de suite que vous êtes jaloux. Je vous rassure cependant de suite, après la Toussaint, c’est rare qu’elles soient mangeables. Cette année n’a pas échappée à la norme avec le froid et la neige qui est tombé ici début décembre.

Les fraisiers sont bien beaux, avec encore beaucoup de couleurs. Sur les deux types de pieds que nous avons, un seul donne des fraises après septembre. OLYMPUS DIGITAL CAMERANos pieds ont aussi un léger avantage, ils sont plantés dans une belle pente, à l’automne, ils sont encore bien exposés aux rayons du soleil.

Cette année, peu de rouge dans les derniers fruits, les jaunes sont de sortis. Tout cela manque malheureusement de sucre et même les oiseaux ne sont guère intéressé !

Enfin, tout cela a l’air de se faire bien plaisir et on peux envisager de faire encore quelques pots de confiture au printemps…

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Le retour de la poulie

Bolivie99-3A-041-ChacaltayaUn article en lançant un autre, voici une histoire de poulie retour. Si vous n’êtes pas intéressé par les remontées mécaniques, passez cet article, quoique…

Cordillère des Andes, 5 395 mètres d’altitude, Chacaltaya abritait la plus haute station de ski du monde (Bolivie). Le recul des glaciers dans les Andes a dû faire fermer cette merveille. Situé à seulement 30 km de La Paz, co-capitale de la Bolivie. C’est un détour à faire pour qui souhaite profiter d’une promenade facile à plus de 5 000 m.

Nous avons ici la poulie retour placée en tête de la remontée mécanique, telle qu’elle était en 1999. C’était la poulie retour la plus haute du monde ! J’ai aussi dans mes archives le dernier pylône. Vous aurez alors une vue de la pente et on se rends compte que ce n’était pas un tire-fil ! Franchement, j’aurais bien aimé voir cet équipement en état de marche car jamais en Europe, un truc pareil n’aurait pu voir le jour.

Je ne sais pas à l’heure actuelle où est la remontée mécanique la plus haute du monde, mais cela doit être bien plus bas…

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De la glisse sur Saint-Hilaire

Grand beau au programme de ce dimanche 9 décembre, de la neige fraîche, tout Grenoble est de sortie afin de tester son matériel de skis. Nous avons décidé de monter à Saint-Hilaire du Touvet, c’est une petite station ayant un cadre sympathique dans les sapins. Exposé plein sud, il n’y a pas toujours de la neige, alors en ce jour d’après de forte chute, la vue va être superbe sur la chaîne de Belledonne, juste en face.

Nous ne sommes pas les seuls à avoir eu cette idée lumineuse et pas mal de personnes se sont déroutées de Prapoutel pour Saint-Hilaire… Il faut dire que Belledonne était toujours sous les nuages à 10h ! C’était cependant sans compter sur la dent de Crolles, jalouse, qui a capté un nuage à notre arrivée pour ne plus le lâcher.

Au bilan, un matériel qui fonctionne, une bonne neige poudreuse à pas mal d’endroit malgré le damage de la nuit mais aucune visibilité à plus de 500m. Nous n’avons vu ni la dent placée juste au dessus de nos têtes, ni même la vallée de l’Isère… J’ai donc du me rabattre sur une photo de l’arrivée du grand téléski du Sauzet qui a été rénové il y a peu. En effet, il n’y a plus de poulie flottante mais une sympathique gare de retour bien plus fiable en pratique.

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Fin de cycle

Alors que les journalistes s’excitent sur le calendrier Maya histoire de vendre du papier (non, je ne peux pas croire qu’ils croient une seconde à ce qu’ils écrivent…), nous avons tranquillement fêté la fin d’un cycle le 12/12/2012. En effet, passer le cap des 50 ans ce jour là, c’est pas mal quand même. Non, je ne parle pas de moi, je suis né l’été ce qui me permet de vivre en sandales toute l’année…

La photo n’est pas terrible mais je n’en ai pas d’autre. N’étant pas un voyageur imprudent, je laisse le soin à un autre photographe d’en faire une autre le 13/13/2013 !

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La porte des cristaux

Alors que les navigateurs du vendée globe passent les portes à tour de jour, nous sommes montés au Col de Porte début décembre. La météo était bien moins bonne qu’espérée, le col étant trop bas pour sortir de la couche de nuage, mais la neige bien présente et en grande quantité, chargeait les branches des arbres.

Délaissant un instant les enfants sur leurs luges et le surf, je pars à l’aventure totale le long du chemin menant au Charmant Som. A vrai dire, pas la peine de prendre des risques inutiles, c’est partout merveilleux ! Donc je mitraille tant que les piles tiennent. En effet, ces joujous n’aiment pas le froid et ce qui devait arrivé arriva, plus de batterie. Heureusement, j’avais dans la boite un certain nombre de branches et de troncs… En voici deux exemplaires signes d’un temps froids et dans le brouillard pendant plusieurs jours au col.

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En parlant de partie de pêche

Mon dernier article parlait de fruits et de neige… Tout cela m’a mis l’eau à la bouche ! Du coup, je prends mes bottes et mon filet et je pars à l’aventure parmi nos trésors de l’été 2012. C’est qu’il y en a des choses dans nos malles…

Pas une, pas deux, la voila.  Je vous laisser chercher la ville où elle a été prise. Je vous donne un indice car sinon mes collègues vont chercher dans tout Grenoble : bretagne sud. Le premier qui trouve aura toute ma reconnaissance !

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