En cherchant une autre photo pour autre chose, je suis tombé sur celle-ci hier soir… Prise à Orpierre à la l’automne 2011 lors de la fête des fruits anciens, elle m’a bien réchauffé le coeur.
Il faut dire que le temps est plutôt maussade, sans grand soleil, et que ce mélange de forme et de couleur fait tout pour nous donner la pêche !
Demain il fait enfin beau, je crois qu’on va aller tâter la neige au col…
A Lyon, un quartier est en pleine transformation depuis quelques années : le quartier de la confluence. Le quartier est coincé entre le Rhône et la Saône. Au bout du bout, un musée est en train de se construire, mais c’est une autre histoire, de l’autre coté de l’autoroute…
Avant, il y avait le MIN, le Marché d’Intérêt National, mais complètement vétuste, il a été démantelé. Sur l’immense zone a été installé le nouvel hôtel de la région, une zone commerciale semi-ouverte, un port… Créer de toute pièce un port sur la Saône, voila une super idée. D’un coté le centre commercial avec son toit aérien, de l’autre des logements au design du moment. Des cubes qui font penser à une perte d’équilibre… Pour la photo, j’ai choisi un immeuble à volet pivotant. Ce jour là, l’éclairage n’était pas top mais bon, c’est pas tous les jours que je me promène dans Lyon…
Si vous vous promenez la bas, suivre la Saône en direction de la confluence. On passe sous deux anciennes grues de déchargement magnifiques et quelques anciens bâtiments ont été très bien rénové, entouré d’une merveille moderne : Le Cube Orange. L’appareil n’ayant plus de pile à ce moment, pas de photo maison à ce jour…
Eté 1998, je me promenais alors durant 7 semaines dans le grand nord en Alaska. Avant de prendre une douche de 5 jours à Valdez, nous avons eu la chance d’avoir un temps superbe à la mine de Kennecott dans le sud-est du pays (pas loin de Valdez).
Le site était déjà en 1998 aménagé avec un accès par une passerelle pour piéton. Avant, il fallait franchir la rivière via une nacelle sur un câble, cela limite le tourisme (surtout quand on voit le câble et la nacelle). D’ailleurs, la rivière est glacière, boueuse, turbulente, impressionnante… On avait prévu de s’y laver quand même. Après avoir laver mes seules chaussettes, j’avais déjà les mains congelées. Fin de la toilette !
Le site de la mine est au bout d’une piste perdue. On avait tout fait en stop, c’était super sympa. Une fois à la mine, on peux monter sur la montagne juste au dessus. Il n’y a rien de technique. Il reste ici ou là des traces d’anciens poteaux de transport par câble jusqu’aux mines proprement dites. En montant quelque peu, on voit alors le glacier « dentifrice signal » qui est exceptionnel. Les montagnes au loin donnent très envie d’aller les grimper mais le franchissement des langues glacières doit déjà prendre plusieurs jours de marche vu la complexité de la surface.
Je suis un grand fanatique de la pomme. C’est vraiment un fruit formidable qui se conserve bien, juteux, croquant et ayant bon goût. De plus, il doit y avoir des milliers d’espèces différentes. Bref, il y en a pour tous !
Dans nos contrés (les alpes), les pommiers se sont assez éloignés du concept encore présent dans le bocage normand de la culture des pommiers dans les prairies à vache.
Du coté d’Orpierre, on pourrait parler de culture intensive lorsqu’on voit le nombre de champs ayant des pommiers alignés. C’en est presque militaire. Mi-septembre, date de la photo prise par Dominique, 99% des pommiers ont encore leurs feuilles, ou c’est qu’ils ne sont déjà plus parmi nous… En bout d’une ligne, nous sommes tombés sur celui-là, bien chargés en pomme mais sans feuille. C’est assez étrange.
Justement, en ce samedi, c’est la fête aux fruits anciens à Orpierre. La météo n’est pas au rendez-vous avec de la pluie et du froid. Mais bon, c’est toujours une fête bien sypmapthique.
L’automne est là et s’installe durablement. La transhumance suit son cours et les animaux doivent redescendre des alpages petits à petits. En effet, sur le campus, nous avons eu la visite de quelques chèvres plusieurs jours autour du local de stockage de produit chimique sur le périmètre de PHELMA campus.
La zone est grillagé et en talus de terre de 3m de haut, c’est certainement un peu casse pied d’aller couper l’herbe là dedans. j’espère que le local ne fuit pas car sinon, bonjour les chèvres… Enfin, je suis végétarien !
Comme je ne me promène pas avec un appareil sur le campus, la photo représente un des petits cochons de l’alpage du Charmant-Som. Ils ont tous les ans leur territoire triangulaire qu’ils s’amusent à retourner en tout sens. En cette fin d’après midi là, ils étaient plutôt à la sieste !
Un des avantages de l’automne sur l’été ou l’hiver, ce sont en particulier les éclairages. La nature se remplit de couleur comme au printemps et les rouges décoiffent !
Afin de ne pas faire dans l’ultra classique, j’ai choisi cette photo prise dans la face nord du Charmant-Som mi-octobre. Il n’y a que des verts mais quels verts ! D’ici peu, les jaunes vont rougeoyer.
Heureusement, tout ne se passe pas qu’en montagne, c’est beau aussi au lever du soleil ainsi qu’au coucher. De chez moi, c’est plus souvent beau le matin (il faut dire que je suis encore là) donc j’ai fait le choix d’une photo d’un soir cette semaine, coté Vercors.
La Grande Moucherolle donne l’impression de vouloir se réveiller… Je vous rassure, la zone n’est absolument pas volcanique !
Mais pourquoi une chaussure se mettrait-elle à courir toute seule ? A vrai dire, cela pourrait même vous faire une belle jambe !
Je crois que la dernière fois que j’avais couru, c’était en 1999. A l’époque, je courrais régulièrement autour de l’étang du Ter. Deux grands tours si mes souvenirs sont bons. Chaque tour fait environ 7km. C’est un superbe parcours parfois un peu encombré par le trop plein de coureur mais comme l’étang est magnifique, il suffit de regarder vers le centre…
Jeudi, j’ai donc fait le parcours classique « campus – tour du lac de la taillat – campus ». Arrivé au bout du lac, on a fait un peu plus de la moitié car le retour est plus rapide mais moins plat ! Il attaque par une petite côte monté à petite allure mais en restant dans un rythme de course. Après le passage de la rocade, j’ai commencé à sentir la fatigue mais il fallait bien rentrer. Ce fût chose faite et avec les formes…
Par contre, dès le lendemain et ce jour encore, j’ai mal aux jambes à avoir du mal à descendre un escalier. Dur dur de reprendre la course après tant d’année !
Afin de finir original, j’ai pris en photo mes pompes ce matin en les posant au milieu des fraisiers. Ils sont actuellement en fleur et il y a même quelques fraises…
Les trois gros ateliers du projet Village de Ville situé sur la friche de la belle de mai à Marseille sont finis.
C’est très bien mais en quoi cela nous concerne-t’il ?
Si l’on regarde la liste des participants, on se rends compte que l’UJF de Grenoble est partie prenante. Je peux même dire que son rôle, ou plutôt celui de ses enseignants chercheurs et de ses étudiants a été fondamental. Regardez juste du coté des structures de type bâtiment pour vous en rendre compte…
Du coup, nous y sommes allé tous les ans et nos trois stroumpfs sont un peu les enfants du projet !
La première année, c’était le tout début, il fallait partir de rien. Non pas de rien, d’une zone plus que dépotoir en partie polluée… Le temps était absolument superbe (zic) et les constructions se sont faites sous la pluie, voire les pieds dans l’eau sur la fin ! Comme on est à Marseille, le port n’est jamais très loin, la preuve…
Je ne reprendrais pas les objectifs du projet, allez sur le site web de celui-ci. On peux juste conclure qu’en 10 jours, le site avait déjà bien changé d’aspect. L’engrenage était en route…
Un des grands classique du genre est le jeu des sept erreurs. Il s’agit de trouver sept différences entre deux dessins mis cote à cote.
Il s’agit ici d’une variante sous forme de poster que nous avons fixer sur une porte chez nous (non, je ne dirais pas laquelle !). Parmi tous les objets dessinés, certains sont en double. Il y a en tout cinq doublons…
Tomin a été le plus rapide en les trouvant en moins d’une semaine. J’ai du mettre un mois pour enfin arrivé au bout… Il faut dire qu’on y passe pas tout notre temps et que c’est franchement bien fait. On se dis même que ce n’est pas possible, qu’il n’y a pas 5 doublons…
Je ne sais plus ou nous avons trouvé ce poster. Cela doit être dans l’une des revues des enfants. En tout cas, je conseille, c’est très bien pour se décrasser le cerveau après de très nombreuse année sans jouer au jeu du Memory.
Quel est le lien entre cette plage sympathique et ce fameux hôpital ? Ils sont dans la même ville.
Il y a un an un jour pour jour, je visitais pour mon travail le nouvel hôpital de Cannes. Non pas les zones des malades mais tout ce qui concerne les réseaux informatiques. En effet, l’hôpital est câblé selon un plan de rocade tout en fibre optique, solution innovante et intéressante à plus d’un titre. J’en reparlerais un de ces jours car nous allons faire quelque chose d’équivalent dans nos locaux…
L’an passé, il faisait très beau et je me souviens d’un bain de nuit à cet endroit vers 23h le soir de mon arrivée. L’eau était excellente et il n’y avait personne. Du pur bonheur !
Les voyages forgent les souvenirs, il n’y a pas à dire…
Le topinambour est une tubercule qui n’était plus très à la mode. Il faut dire que nos parents ont comme un blocage psychologique du à la guerre. En effet, les topinambours semblent n’avoir pas été soumis aux effort de guerre comme par exemple les patates donc il y en aurait eu de planté bien plus que la normale par les paysans en ce temps là…
Ce n’est pas encore le moment de les manger. Par contre, en ce début d’automne, ils sont en fleurs et c’est absolument magnifique. J’ai d’ailleurs remplacé une zone de tournesol par des topinambours cette année !
Je vous conseille donc de faire de même pour voir mais attention, c’est très envahissant. Il est préférable de prévoir une plate-bande à part. C’est aussi relativement encombrant, prévoir plus de 2 m de haut par pied s’ils sont heureux dans votre terre !
Les photos sont prises à la nuit tombante d’où cette ambiance un peu rosée.
Derrière cette belle phrase en forme de métaphore, de quoi s’agit-il ?
L’objectif d’un laboratoire public de recherche est d’augmenter les connaissances ainsi que de les transmettre à la génération suivante. Cela passe en grande partie par le système du doctorat, formation par la recherche dans un laboratoire, pendant 3 ans en général, qui délivre le diplôme universitaire de docteur (attention, rien à voir ici avec les médecins qui sont par ailleurs très souvent des docteurs es médecine).
Oui, mais après 3 ans ?
Malheureusement, il n’est pas possible d’embaucher tous les thésard(e)s, il est même préférable en cas de poste de chercheur (ou d’ingénieur) permanent qu’ils (elles) aient fait un petit séjour ailleurs histoire de voir d’autres cultures. La recherche est un gros brassage d’idée…
Alors les permanents restent, chaque année prennent 1 an et gravitent autour d’eux une bande de joyeux trublions à âge constant ! Cela rentre et sors et parfois, souvent à l’automne, il y a un passage à vide avec quelques sièges libres…
En les voyant ainsi vides, j’ai toujours une pensée pour tous les super doctorants que j’ai croisé. Merci à tous d’avoir fait un bout de chemin ensemble.
Un comédien comique japonais Shimada Yôshichi raconte ses propres histoires d’enfance dans une autobiographie. Celle-ci a un grand succès au japon et sera adapté en manga par Ishikawa Saburô sous le titre : Une sacré mamie.
Le héros s’appelle Akihiro. Né à Hiroshima en 1948, il a un grand frère et son père est mort des suites de la maladie nucléaire ! La mère, Hideko, a du mal à joindre les deux bouts et en plus, les deux enfant passent leur temps à se chamailler… Elle profite du passage de sa soeur pour envoyer le petit Akihiro vivre chez sa grand-mère à Saga, à l’époque une petite ville à la campagne…
La grand mère est très pauvre mais fait preuve d’une très grande philosophie de la vie et prends tous les évènements du meilleur coté. Cette mamie est extraordinaire et malgré les difficultés, le petit Akihiro s’adapte parfaitement à ce dur régime (les repas sont souvent plus que succincts) et se fait plein d’amis.
Il y a 11 tomes, alors on se doute qu’il se passe plein de chose. Il y aura même la visite d’un américain mais je ne vous dis pas quand ni pourquoi !
Bref, une grande leçon de vivre, un témoignage comme on aimerait en lire souvent. Il nous donne la force pour essayer de nous dépasser. Surtout qu’il est difficile dans notre monde hyper-technologique d’imaginer le dénuement le plus total qui est raconté dans cette histoire vraie se passant après guerre, alors que ce pays est aujourd’hui un des leaders du monde…
A noter que le manga est édité chez Delcourt (ISBN du tome 1 : 978-2-7560-1516-3) et se lit heureusement de droite à gauche comme l’original.
A environ 1km en aval du centre ville d’Orpierre, le Buëch se tortille dans quelques défilés plus étroits. Vers 18h fin septembre, l’éclairage peut-être absolument superbe.
A noter que cette année, très peu d’eau est tombé sur la vallée et les rivières sont quasiment à sec. Cependant, il y a tout de même des petits poissons dès qu’il y a plus de 30cm d’eau.
La sécheresse se ressent aussi sur les lieux d’escalade, où les chemins d’accès voiture n’ont pas du tout été défoncé comme cela arrivait parfois par le passé.
Une chose assez merveilleuse sur l’île de Groix, ce sont la diversité des plages. Une plage un peu mythique est la plage des sables rouges.
Selon la météo et les coefficients de marées, le sable est plus ou moins rouge. Si l’on creuse un trou, on se retrouve avec une suite de strate des plus intéressantes, sauf pour les strates d’algues en putréfactions qui dégagent une odeur à vider toute la plage !
La photo a été prise lors de l’été 2006, mais depuis, cela n’a guère changé. Peut-être un jour je dirais d’où vient ce sable rouge ? A suivre…
Comment en pleine nature, sur un plateau à 3000 m sans eau courante, se laver les mains avant les repas ?
Il y a la technique du bidon ou de la poche d’eau avec robinet… En asie centrale, à proximité des yourtes, on trouve souvent ce genre de chose : un pot à eau avec un tige conique bouchant un petit trou au fond du pot, par dessous un simple évier…
Avec une main, on relève légèrement la tige et l’eau coule toute seule. Une fois le pot vide, on le remplit de nouveau avec un bidon.
Simple, pratique, efficace, économe en eau… toute notre technique nous fait parfois oublier les choses simples !
Photo prise sur les bords du lac Song Kol (lac « Son Koul » en français) fin juillet 2011.
Dans le milieu marin, il n’y a pas de ficelles, de cordes…, il y des bouts !
Sur une petite île comme Groix, à l’heure de la mode des acrobranches, pourquoi vouloir faire pareil, surtout qu’il n’y a pas forcément les grands arbres (l’île est tout de même en plein vent les mois d’hiver).
Une idée géniale à donc germé de faire un parcabout, cela ressemble à un acrobranche mais ce n’est pas un acrobranche ! C’est d’ailleurs parfait pour les petits.
Les concepteurs ont eu le bon esprit de vouloir le faire joli, cela n’a pas échappé au regard de Dominique qui nous en croque ici un peu bout qui ne vous donnera absolument pas une vue d’ensemble…
L’avantage de naître en l’an 2000, c’est qu’après son anniversaire, on a l’âge de l’année en cours. Sylène a donc 12 ans. Bon anniversaire.
Mon grand père était né le 30 novembre 1899, cela marchait donc aussi 11 mois par an. Il en a profité plus de 90 ans !
On a fait cela en famille après une séance de piscine. Peu de bassin sont ouverts cette semaine et celui de l’école des pupilles de l’air était donc plein. Dur dur de nager sans se prendre et/ou sans donner de temps en temps quelques coups de pieds. Peu agréable… mais nous a bien ouvert l’appétit ! En effet, cela ne nous a pas empêché de manger comme des rois. Les bougies ont été soufflées d’un seul coup comme le veux la tradition.
Grosse chaleur en ce jour, après la neige de la semaine dernière, nous avons eu le droit à un petit 30 degré dans la plaine !
Du coup, la montée au col de porte en vélo a été bien plus transpirante que la semaine dernière. Par ailleurs, je n’avais pas l’impression qu’il y avait tant de monde que cela mais dans la descente, j’ai croisé un nombre incroyable de cycliste… Tout Grenoble est de sortie en cet été retrouvé.
A noter que nos amis chasseurs ou promeneurs en 4×4 sont priés de s’occuper de leur chien. Un chien qui s’ennuie sur le bord de la route vient lécher les jambes de tous les grimpeurs sur deux roues. Il y en a qui aime… J’avoue ne pas être fanatique !
Pour agrémenter cela, une petite photo datant de juillet 2009 prise par Dominique lors d’une mission au Colorado. Quelques belles arches au nord de Boulder… C’est beau mais c’est très chaud !
Mi-août 2012 en fin d’après midi, les bateaux rentrent au port. De nos jours, peu font les derniers mètres à la voile, c’est dommage. Quoi de plus beau qu’une arrivée au port toutes voiles dehors !
Mais ou est donc Port Tudy ?
Dimanche 2 septembre au matin, le ciel se lève enfin après deux jours de mauvais temps. Après un mois d’août très chaud à plus de 30 degré et des massifs plus que vert (plus un seul neivé en ligne de mire), la neige est de retour vers 2000 m sur le massif de Belledone.
Ouf, cela fait du bien de revoir un peu de blanc, on n’était plus vraiment à Grenoble sinon..
Les nouveaux anneaux de la cuisine. Pas à dire, Karel est bien le roi des cuistots pour arriver à faire cette figure du premier coup !
Le tout a été transformé en succulent tiramisu.
Dans la chaîne des Puys, le Cliersou au premier plan (1197m) avec ses grottes en face sud. Le puy des Goules (1146m) et le grand Sarcouy (1151m) sont en arrière plan. A noter que le puy des Goules est très facile à faire, bien mignon quand même et bien moins fréquentés que le Pariou…
La photo est prise depuis le Grand Suchet fin juillet 2012.
Sur la pointe Est de l’île de Groix, le feu de la Croix. Avant, il y avait une plage convexe en contrebas, la plage des grands sables, puis elle est partie vers le nord, il n’y a maintenant plus que de l’eau…
