Déchargement

Arrivée, tout le monde débarque… Voici la valse des voyageurs et des bagages qui commence. Il faut être rapide, dans mon d’une heure, l’avion repars la plupart du temps, quel que soit le temps du jour, tant que c’est possible !

Alors hop, on fonce. On ne va pas faire dans la dentelle avec les draps et les couvertures. On balance tout par la fenêtre ! Comme l’ouverture d’un hublot n’est pas la chose la plus aisée sur un avion de ligne, la métaphore se transforme à tout balancer dans les escaliers. À charge pour l’homme de base, l’homme à terre, de ne pas se prendre un colis sur un coin du pif et de garder la tête froide.

Imaginez un peu qu’un colis s’ouvre et que notre opérateur se prenne un drap blanc parfaitement lancé, nous verrions un fantôme s’agiter et courir en tout sens sur le tarmac ! Cela pourrait être assez drôle…

Pour l’heure, rien de tout cela. Des gestes répétitifs et expédiés rapidement afin de rentrer au plus tôt à l’abri et éviter le plus possible les cordes tombant sur la capitale Buenos Aires ce jour là, et se prendre ainsi les pieds dans une flaque d’eau Argentine.

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